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Auteur C. Meysonnier |
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Extraction par forceps / O. Dupuis in Journal de gynécologie obstétrique et biologie de la reproduction, 4 (Avril 2016)
[article]
Titre : Extraction par forceps : état des connaissances des professionnels des centres hospitaliers du Grand Lyon Type de document : Article Auteurs : O. Dupuis ; C. Meysonnier ; J. Clerc Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 343-352 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Contrôle de qualité ; Extraction instrumentale ; Forceps ; Formation ; France ; Parturition ; Pratique professionnelle ; RechercheRésumé : But
Cette étude a pour but de décrire les connaissances relatives aux extractions par forceps des professionnels des centres hospitaliers de la région lyonnaise.
Matériel et méthodes
Étude observationnelle, multicentrique descriptive réalisée du premier janvier 2013 au neuf août 2013. Un questionnaire a été envoyé aux obstétriciens thésés et internes de la région lyonnaise. Il concernait les prérequis à la réalisation dune extraction instrumentale, la technique de lextraction par forceps et les pratiques et préférences des opérateurs.
Résultats
Soixante-quinze réponses ont été obtenues (47 gynécologues thésés, 28 internes). Concernant les prérequis : 6,4 % des médecins et 14,3 % des internes ne font jamais de sondage évacuateur. Lextraction nest pas réalisée sur des présentations non engagées mais 51,1 % des médecins en réalisent sur des présentations engagées partie haute. Une échographie de présentation est faite en cas de doute clinique. Concernant la technique dextraction : pour les présentations en occipito-pubien et occipito-iliaque gauche antérieur, la cuillère gauche est posée en premier. Pour les variétés antérieures, un complément de flexion est réalisé contrairement aux variétés postérieures. La plupart des opérateurs ne réalisent pas de grandes rotations. Linstrument privilégié des médecins est la ventouse et le forceps est linstrument le plus utilisé en deuxième intention.
Conclusion
Les recommandations concernant lextraction par forceps sont globalement respectées mais cette étude observationnelle manque de puissance. Il serait intéressant de réaliser une étude à plus large échelle associée à une comparaison des pratiques entre médecins et internes.Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75503
in Journal de gynécologie obstétrique et biologie de la reproduction > 4 (Avril 2016) . - p. 343-352[article] Extraction par forceps : état des connaissances des professionnels des centres hospitaliers du Grand Lyon [Article] / O. Dupuis ; C. Meysonnier ; J. Clerc . - 2016 . - p. 343-352.
Langues : Français (fre)
in Journal de gynécologie obstétrique et biologie de la reproduction > 4 (Avril 2016) . - p. 343-352
Descripteurs : HE Vinci
Contrôle de qualité ; Extraction instrumentale ; Forceps ; Formation ; France ; Parturition ; Pratique professionnelle ; RechercheRésumé : But
Cette étude a pour but de décrire les connaissances relatives aux extractions par forceps des professionnels des centres hospitaliers de la région lyonnaise.
Matériel et méthodes
Étude observationnelle, multicentrique descriptive réalisée du premier janvier 2013 au neuf août 2013. Un questionnaire a été envoyé aux obstétriciens thésés et internes de la région lyonnaise. Il concernait les prérequis à la réalisation dune extraction instrumentale, la technique de lextraction par forceps et les pratiques et préférences des opérateurs.
Résultats
Soixante-quinze réponses ont été obtenues (47 gynécologues thésés, 28 internes). Concernant les prérequis : 6,4 % des médecins et 14,3 % des internes ne font jamais de sondage évacuateur. Lextraction nest pas réalisée sur des présentations non engagées mais 51,1 % des médecins en réalisent sur des présentations engagées partie haute. Une échographie de présentation est faite en cas de doute clinique. Concernant la technique dextraction : pour les présentations en occipito-pubien et occipito-iliaque gauche antérieur, la cuillère gauche est posée en premier. Pour les variétés antérieures, un complément de flexion est réalisé contrairement aux variétés postérieures. La plupart des opérateurs ne réalisent pas de grandes rotations. Linstrument privilégié des médecins est la ventouse et le forceps est linstrument le plus utilisé en deuxième intention.
Conclusion
Les recommandations concernant lextraction par forceps sont globalement respectées mais cette étude observationnelle manque de puissance. Il serait intéressant de réaliser une étude à plus large échelle associée à une comparaison des pratiques entre médecins et internes.Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75503 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REV Périodique papier Woluwe (Promenade de l'Alma) périodiques Exclu du prêt Faisabilité de la salpingectomie prophylactique lors dune hystérectomie dindication bénigne par voie vaginale et évaluation de la prévalence des lésions tubaires occultes / G. Chene in Journal de gynécologie obstétrique et biologie de la reproduction, 6 (Juin 2016)
[article]
Titre : Faisabilité de la salpingectomie prophylactique lors dune hystérectomie dindication bénigne par voie vaginale et évaluation de la prévalence des lésions tubaires occultes : étude préliminaire Type de document : Article Auteurs : G. Chene ; C. Meysonnier ; A. Buenerd ; [et al.] Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 549-558 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Hysterectomie ; Prévalence ; Salpingectomie ; Tumeurs de l'ovaire ; VaginMots-clés : Lésion tubaire ==> Pas dans Cismef Résumé : But
Étudier la faisabilité de la salpingectomie prophylactique lors dhystérectomies par voie vaginale dindication bénigne et la prévalence des lésions tubaires occultes.
Matériels et méthodes
Étude prospective monocentrique réalisée du premier septembre 2013 au premier novembre 2014 évaluant la prévalence des salpingectomie bilatérale exclusive ou en association avec une ovariectomie et des anomalies histopathologiques tubaires (morphologiques ou immunohistochimiques à laide du marqueur p53).
Résultats
Soixante-neuf patientes ont été incluses. La technique chirurgicale la plus utilisée était la ligature du mésosalpinx par une endoloop ou un fil. La salpingectomie a été faisable dans 51cas (73,9 %). Seul lIMC élevé était statistiquement associé au taux déchec de la salpingectomie (29,4 vs 25, 8 ; p=0,01). Une seule complication postopératoire (hémopéritoine) est survenue dans le groupe salpingectomie. Sur les 51paires de trompes analysées, 4 (12,9 %) anomalies immunohistochimiques (signature p53) ont été visualisées.
Conclusion
Lorigine tubaire récemment démontrée du cancer de lovaire a logiquement posé la question de la salpingectomie préventive exclusive dans les groupes à risque génétique et dans la population générale afin déviter la ménopause chirurgicale induite. La salpingectomie par voie vaginale apparaît réalisable chez des opérateurs expérimentés. La présence danomalies immunohistochimiques, dévolution inconnue, doit malgré tout inciter à la circonspection.Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=76308
in Journal de gynécologie obstétrique et biologie de la reproduction > 6 (Juin 2016) . - p. 549-558[article] Faisabilité de la salpingectomie prophylactique lors dune hystérectomie dindication bénigne par voie vaginale et évaluation de la prévalence des lésions tubaires occultes : étude préliminaire [Article] / G. Chene ; C. Meysonnier ; A. Buenerd ; [et al.] . - 2016 . - p. 549-558.
Langues : Français (fre)
in Journal de gynécologie obstétrique et biologie de la reproduction > 6 (Juin 2016) . - p. 549-558
Descripteurs : HE Vinci
Hysterectomie ; Prévalence ; Salpingectomie ; Tumeurs de l'ovaire ; VaginMots-clés : Lésion tubaire ==> Pas dans Cismef Résumé : But
Étudier la faisabilité de la salpingectomie prophylactique lors dhystérectomies par voie vaginale dindication bénigne et la prévalence des lésions tubaires occultes.
Matériels et méthodes
Étude prospective monocentrique réalisée du premier septembre 2013 au premier novembre 2014 évaluant la prévalence des salpingectomie bilatérale exclusive ou en association avec une ovariectomie et des anomalies histopathologiques tubaires (morphologiques ou immunohistochimiques à laide du marqueur p53).
Résultats
Soixante-neuf patientes ont été incluses. La technique chirurgicale la plus utilisée était la ligature du mésosalpinx par une endoloop ou un fil. La salpingectomie a été faisable dans 51cas (73,9 %). Seul lIMC élevé était statistiquement associé au taux déchec de la salpingectomie (29,4 vs 25, 8 ; p=0,01). Une seule complication postopératoire (hémopéritoine) est survenue dans le groupe salpingectomie. Sur les 51paires de trompes analysées, 4 (12,9 %) anomalies immunohistochimiques (signature p53) ont été visualisées.
Conclusion
Lorigine tubaire récemment démontrée du cancer de lovaire a logiquement posé la question de la salpingectomie préventive exclusive dans les groupes à risque génétique et dans la population générale afin déviter la ménopause chirurgicale induite. La salpingectomie par voie vaginale apparaît réalisable chez des opérateurs expérimentés. La présence danomalies immunohistochimiques, dévolution inconnue, doit malgré tout inciter à la circonspection.Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=76308 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REV Périodique papier Woluwe (Promenade de l'Alma) périodiques Exclu du prêt