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Titre : | Maladie résiduelle minime dans la leucémie lymphoïde chronique : un enjeu restant dactualité (2018) |
Auteurs : | Martin Gauthier ; Thibault Comont ; François Vergez ; Loic Ysebaert |
Type de document : | Article |
Dans : | Bulletin du cancer (Vol. 105, n° 11, Novembre 2018) |
Article en page(s) : | p. 1042-1051 |
Note générale : | https://doi.org/10.1016/j.bulcan.2018.07.008 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Anatomopathologie ; Antinéoplasiques ; Cytométrie en flux ; Immunothérapie ; Leucemie lymphoide chronique ; Maladie chronique ; Traitement médicamenteux |
Mots-clés: | Leucémie chronique lymphocytaire à cellules B ; Maladie résiduelle |
Résumé : | La maladie résiduelle minime (MRD) est de plus en plus utilisée dans le domaine de lonco-hématologie. Sa mesure par cytométrie en flux ou biologie moléculaire a notamment une place grandissante dans la leucémie lymphoïde chronique (LLC) avec lamélioration importante des résultats des traitements ces dernières années. Du fait du bénéfice en survies sans progression et globale apporté par lobtention dune maladie résiduelle minime indétectable, sa mesure en post-thérapeutique est recommandée comme marqueur de substitution pour lenregistrement des médicaments cytotoxiques. Cet effet est indépendant du traitement préalablement reçu et pose la question de mesures séquentielles de la maladie résiduelle minime en cours de traitement pour envisager un arrêt précoce en cas de réponse profonde, mais aussi de la poursuite des traitements jusquà obtention dune maladie résiduelle minime indétectable (en passant par des schémas associant traitements dinduction puis de maintenance). De plus, un suivi de maladie résiduelle minime en post-thérapeutique pourrait aider à proposer des traitements préemptifs de la rechute. Des facteurs tels que la cinétique de croissance de la maladie résiduelle minime ou la lymphopénie CD4 post-thérapeutique permettent daméliorer la prédiction de la survie sans progression des patients ayant une leucémie lymphoïde chronique. Les inhibiteurs de la voie du BCR ninduisent quant à eux pas de maladie résiduelle minime indétectable, mais leur association à des traitements cytotoxiques type immunochimiothérapie permet daugmenter la proportion de patients obtenant une réponse profonde. Les inhibiteurs de BCL2 permettent lobtention de maladie résiduelle minime indétectable chez beaucoup de patients y compris en rechute, ce qui donne à la maladie résiduelle minime une place centrale dans lévaluation des traitements actuellement à létude. |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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REV | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |