Login
Communauté Vinci
Extérieur
Si votre nom d'utilisateur ne se termine pas par @vinci.be ou @student.vinci.be, utilisez le formulaire ci-dessous pour accéder à votre compte de lecteur.
Titre : | Classification des cicatrices pathologiques (2018) |
Auteurs : | Luc Téot |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue francophone de cicatrisation (vol. 2, n° 3, Juillet-septembre 2018) |
Article en page(s) : | p. 17-21 |
Langues: | Français |
Mots-clés: | cicatrice pathologique |
Résumé : | Les cicatrices pathologiques sont souvent désignées à tort comme chéloïdes alors que certaines cicatrices congestives et légèrement surélevées peuvent maturer de façon physiologique en laissant des cicatrices finales normales. Lhistoire naturelle des cicatrices est également importante à connaître, leur capacité dinvolution ou de stabilisation dans le temps étant un facteur clé pour savoir si un traitement laser ou une reprise chirurgicale sera nécessaire et surtout à partir de quand ce geste pourra être proposé. Lutilisation de termes consacrés par des consensus internationaux (immature, hypertrophique, chéloïde) est indispensable pour homogénéiser les pratiques et choisir au mieux les propositions thérapeutiques. Par ailleurs, le vécu cicatriciel par le patient (dyschromie, prurit, impact socio-professionnel) est de plus en plus demandé dans les échelles dévaluation (patient and observer scar assessment scale [POSAS], Manchester). Le ressenti psychologique peut être très variable dun patient à lautre, mais également et surtout du patient lui-même par rapport à son entourage familial ou médical. |
Note de contenu : | Cet article fait partie du dossier " Cicatrices" |
Disponible en ligne : | Non |