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Titre : | La chimiothérapie néoadjuvante associée à la chimioradiothérapie concomitante dans le traitement du cancer du nasopharynx : expérience du Sud-Tunisien (2018) |
Auteurs : | Wafa Mnejja ; Nabil Toumi ; Jamel Daoud ; et al. |
Type de document : | Article |
Dans : | Bulletin du cancer (Vol. 105, n° 5, Mai 2018) |
Article en page(s) : | p. 450-457 |
Note générale : | https://doi.org/10.1016/j.bulcan.2018.02.004 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Chimioradiothérapie ; Traitement médicamenteux ; Tumeurs de l'appareil respiratoire |
Résumé : |
Objectif
Étude rétrospective visant à évaluer lefficacité et la tolérance de lajout dune chimiothérapie néoadjuvante à la chimioradiothérapie concomitante dans le traitement du cancer du nasopharynx. Patients et méthodes Les données de 62 patients traités pour un cancer du nasopharynx non métastatique ont été analysées en comparant 2 groupes de patients : un 1er groupe de 32 patients traités par 3 cycles de chimiothérapie néoadjuvante à base de docétaxel, cisplatine et 5-fluoro-uracile tous les 21 jours suivie de chimioradiothérapie concomitante (cisplatine hebdomadaire 40 mg/m2 avec radiothérapie 70 Gy, 2 Gy par séance, 5 séances par semaine) et un 2e groupe de 30 patients traités par la même chimioradiothérapie concomitante. Résultats Après un suivi médian de 53,5 mois, la chimiothérapie néoadjuvante a montré une réduction significative du taux de rechutes métastatiques à distance (3,3 % vs 10 %, p = 0,03). Aucune différence significative en termes de survie sans maladie à 5 ans (65,6 % vs 68,8 % p = 0,46) ni de survie globale à 5 ans (68,8 % vs 73,3 %, p = 0,46) na été notée entre les 2 groupes. La chimiothérapie dinduction a été associée à un taux de neutropénie fébrile de 15,6 %. Au cours de la chimioradiothérapie concomitante, les complications hématologiques ont été plus importantes dans le groupe de chimiothérapie première (53 % vs 33 %). Conclusion La chimiothérapie première type docétaxel, cisplatine et 5-fluoro-uracile est une option efficace et bien tolérée dans le traitement des cancers du nasopharynx. Une meilleure définition de groupe à haut risque de rechute permettrait doptimiser les indications de cette chimiothérapie dans larsenal thérapeutique. |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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REV | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |