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Titre : | Évaluation de la faisabilité d'un programme d'activité physique adaptée en hôpital de jour de cancérologie digestive : à partir du point de vue des patients (2018) |
Auteurs : | Céline Crespel ; Cloé Brami ; Paul De Boissieu ; et al. |
Type de document : | Article |
Dans : | Bulletin du cancer (Vol. 105, n° 3, Mars 2018) |
Article en page(s) : | p. 228-233 |
Note générale : |
https://doi.org/10.1016/j.bulcan.2017.11.011
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Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Antinéoplasiques ; Chimiothérapie ; Dépression ; Effets secondaires indésirables des médicaments ; Exercice physique ; Service hospitalier d'oncologie ; Traitement par les exercices physiques ; Tumeurs de l'appareil digestif |
Résumé : |
Introduction
L'activité physique adaptée (APA) est reconnue comme un soin de support efficace sur l'asthénie et la qualité de vie en cancérologie. Avant d'organiser un programme d'activité physique adaptée, la faisabilité d'un tel programme a été évaluée auprès des patients. Méthode Étude descriptive, prospective, semi-qualitative, unicentrique, sur une période de 3 mois chez des patients traités par chimiothérapie en ambulatoire pour un cancer digestif. Un auto-questionnaire a été proposé à tous les patients pour évaluer leur pratique et connaissances concernant l'activité physique adaptée. Chez dix patients, la fatigue, l'anxiété et la dépression ont été évaluées, avant et après 9 semaines d'activité physique adaptée réalisée en milieu hospitalier. Les scores ont été comparés par test de Student apparié. Résultats Sur les 123 patients traités, 80 questionnaires (65 %) étaient exploitables. Avant le diagnostic de cancer, 40 patients (50 %) pratiquaient une activité physique ; 20 % après (n = 16). Les raisons de non-pratique étaient : manque d'intérêt/pas eu l'idée (42 %), manque de temps (34 %), ne croient pas au bénéfice (9 %), trop onéreux (8 %), fatigue (6 %). Cinquante-trois patients (66 %) étaient intéressés par le programme. Chez 10 patients, le programme d'activité physique adaptée a permis une réduction significative du score de dépression (p = 0,024) et une amélioration non significative de l'anxiété et la fatigue. Discussion Cette étude montre que les patients traités par chimiothérapie connaissent mal l'utilité de l'activité physique adaptée et que l'information médicale peut améliorer l'adhésion à un tel programme. La mise en place d'un programme d'activité physique adaptée intra-hospitalier s'est avérée possible et pertinente. |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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REV | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |