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Titre : | Conditions dexercice de la parentalité, violence familiale et demande daide chez les mères de jeunes enfants (2022) |
Auteurs : | Rachel Michaud, Auteur ; Marie-Hélène Gagné, Auteur ; Marie-Eve Clément, Auteur ; Camille Brunet, Auteur ; Kamélia Gill, Auteur ; Emilie Charest, Auteur |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue de psychoéducation (Vol. 51, n° 3, Novembre 2022) |
Article en page(s) : | p. 33-54 |
Note générale : | https://doi.org/10.7202/1093878ar |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Demande d'aide ou assistance ou soutien (psychologie) ; Jeune enfant ; Mères ; Pratiques éducatives parentales ; Violence domestique |
Mots-clés: | Profils latents |
Résumé : | Cette étude exploratoire vise à identifier divers profils de parentalité chez les mères québécoises denfants de 0-8 ans, ainsi quà examiner les associations entre ces profils, la violence familiale envers les enfants (agression psychologique, violence physique mineure et violence physique sévère) et la demande daide en matière de soutien à la parentalité. Deux échantillons indépendants formés de mères denfants de 0-8 ans et 11 mois (N = 2501 en 2014 et N = 3120 en 2017) ont été questionnés par entrevue téléphonique sur plusieurs aspects de la parentalité et sur leurs caractéristiques socioéconomiques. Des analyses de classes latentes (LCA) ont permis de dégager quatre profils qui se distinguent principalement quant aux conditions dexercice de la parentalité. Une régression multinomiale utilisant le profil le plus favorisé comme catégorie de référence montre des associations positives entre la violence physique mineure et les trois profils plus vulnérables. Cependant, les associations entre lagression psychologique et ces trois profils sont négatives, suggérant que cette forme de violence est moins prévalente. La violence physique sévère nest associée à aucun profil, alors que la demande daide est associée positivement aux deux profils les plus vulnérables. Ces résultats convergent avec ceux dautres recherches suggérant que les familles à risque de violence psychologique se distinguent de celles à risque de violence physique envers les enfants. Ils nous invitent à ne pas oublier les familles apparemment moins vulnérables dans nos efforts de prévention, car ce sont celles qui paraissent les plus à risque de violence psychologique. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://www.erudit.org/fr/revues/psyedu/2022-v51-n3-psyedu07465/1093878ar/ |