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Titre : | Description des pratiques de linsulinothérapie basale dans le diabète de type 2 en médecine générale en France : létude PRACTISULINE® (2022) |
Auteurs : | Pierre Gourdy ; Amar Bahloul ; Sarah Safsaf ; Baptiste Roux ; Gilles Le Pape ; Michel Krempf |
Type de document : | Article |
Dans : | Médecine des maladies métaboliques (Vol. 16, n°8, Décembre 2022) |
Article en page(s) : | p. 723-732 |
Note générale : | https://doi.org/10.1016/j.mmm.2022.06.005 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Diabète de type 2 ; France ; Insuline |
Mots-clés: | Insuline basale ; Analogues de l'insuline d'action prolongée de seconde génération ; Médecin généraliste ; Cas-vignettes ; Déterminants de mise à l'insuline |
Résumé : |
Introduction
Malgré une offre thérapeutique continuellement améliorée, environ 35 % des personnes atteintes de diabète de type 2 (DT2) sous insuline ont un contrôle glycémique insuffisant (HbA1c > 8 %). Létude PRACTISULINE® a pour objectif de décrire les pratiques en médecine générale de linsulinothérapie basale chez les patients DT2. Matériel et méthodes Une formation virtuelle sur létat de lart de la mise à linsuline a été proposée à 162 médecins généralistes (MG) exerçant en France, suivie dune étude basée sur la méthodologie des cas-vignettes. Via un jeu narratif en ligne, chaque participant a analysé quatre cas cliniques fictifs (tirés au sort parmi 256 cas obtenus par la combinaison de huit paramètres cliniques dintérêt variant aléatoirement) de patients DT2 préalablement sous traitement oral ou agoniste du récepteur du glucagon-like peptide-1, afin de renseigner leurs choix thérapeutiques et les modalités dinstauration de linsuline basale. Résultats Parmi les 162 MG recrutés, 39 % avaient lhabitude de prescrire une insuline basale. Daprès les réponses aux cas-vignettes, dans 74,2 % des cas, le choix quant à linsuline à initier se portait en première intention sur une insuline basale de seconde génération. Le premier déterminant justifiant la mise à linsuline était le taux dHbA1c (93,5 %), suivi du traitement antidiabétique insuffisant au préalable, de la présence dune insuffisance rénale et de lâge. La très grande majorité des MG avait recours à un accompagnement infirmier à domicile à linitiation ; il était aussi très fréquemment fait appel à la télémédecine pour le suivi de ces patients. Conclusion Ces résultats montrent que, si les MG ont des connaissances générales satisfaisantes sur les déterminants de recours et du choix de linsuline basale, le besoin de formation médicale reste néanmoins indispensable et pose la question des stratégies déducation thérapeutique des patients diabétiques. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1957255722001705 |