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Titre : | Connaissances, attitudes et croyances concernant le dépistage du cancer du col utérin dans le District dAjumako-Enyan-Essiam au Ghana (2021) |
Auteurs : | Charlotte Naa Sampson ; Samuel Donkor Nkpeebo ; Thywill Amenuveve Degley |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue canadienne de soins infirmiers en oncologie (Vol. 31, n° 3, Été 2021) |
Article en page(s) : | p. 291-297 |
Note générale : | Doi : 10.5737/23688076313291297 |
Langues: | Français ; Anglais |
Descripteurs : |
HE Vinci Connaissances, attitudes et pratiques en santé ; Dépistage précoce du cancer ; Ghana ; Tumeurs du col de l'utérus |
Résumé : | Létude a été menée dans le district dAjumako-Eyan-Essiam (AEED) et visait à évaluer les connaissances, attitudes et croyances des femmes relativement au dépistage du cancer du col utérin. Au Ghana, ce cancer vient au deuxième rang des causes de cancer gynécologique. Dans les études et la pratique clinique effectuées auprès de femmes atteintes de cancer du col utérin, le diagnostic précoce, le traitement et la prévention du cancer sont largement influencés par leurs connaissances et leurs attitudes envers le dépistage. À ce jour, on ne dispose pas détude sur ces perceptions chez les femmes dans le district dAEED. Un devis transversal quantitatif a été utilisé avec une analyse statistique descriptive de données provenant de 240 femmes. Les résultats ont révélé que 61,3 % dentre elles ne savaient pas quel organe était touché lors dun cancer du col utérin ou à quel intervalle un suivi était nécessaire après un résultat de test Pap normal; il y aurait donc des lacunes dans les connaissances. Au total, 36 % croyaient que le test de Papanicolaou (test Pap) était effectué une fois pour toutes, et 57,1 % pensaient quil était dispendieux, ce qui limite la participation au dépistage. Par peur de linconnu, beaucoup de répondantes avaient refusé le dépistage (48,8 %) alors que dautres croyaient quelles nétaient pas à risque (65,8 %). De plus, bon nombre de femmes (46,7 %) pensaient quil ny avait pas de traitement contre le cancer du col. En conclusion, les connaissances fausses et inadéquates de ces femmes ont influencé leurs attitudes envers le dépistage du cancer. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | http://www.canadianoncologynursingjournal.com/index.php/conj/article/view/1187 |