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Titre : | Physical activity for patients with severe mental illness: Preferences, barriers and perceptions of counselling (2020) |
Titre original: | Activité physique chez les personnes avec des troubles mentaux sévères : préférences, barrières et perception des conseils fournis |
Auteurs : | A.J. Romain ; C. Longpré-Poirier ; M. Tannous ; Amal Abdel-Baki |
Type de document : | Article |
Dans : | Science et sports (Vol. 35, n°5, 2020) |
Article en page(s) : | p. 289-299 |
Note générale : | 10.1016/j.scispo.2020.03.005 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Comportement en matière de santé ; Exercice physique ; Marche à pied ; Préférence des patients ; Troubles mentaux |
Résumé : |
Objectifs
Il a été suggéré que prendre en considération les préférences dactivité physique faciliterait linitiation et le maintien de lactivité physique chez des personnes ayant des troubles mentaux sévères. Lobjectif de la présente étude était de décrire les préférences dactivités physique, ainsi que les barrières à sa pratique auprès de personnes ayant des troubles mentaux sévères. Matériels et méthodes Les participants ont complété des questionnaires au sujet de leurs préférences (nature, contexte, supervision, environnement) dactivité physique ainsi que limportance donnée aux comportements de santé dans leur processus de réhabilitation. Résultats Auprès des 114 participants recrutés, les activités les plus populaires étaient la marche (55,3 %), le vélo (46,5 %), et la course (33,3 %). Les préférences dactivités variaient en fonction de lindice de masse corporelle, de lâge, du stade de changement et variaient considérablement en fonction du sexe. Ensuite, 36,9 % des participants préféraient les entraînements supervisés, et 47 % les activités physique en extérieur. De même, le sexe était est un facteur particulièrement discriminant (76,2 % des femmes vs 23,8 % des hommes voulaient de la supervision). Les principales barrières étaient le manque de motivation, la fatigue, le manque de support social et le temps. De plus, les participants considéraient les conseils reçus par les professionnels de santé comme étant importants, et attribuaient une valence aussi importante à leur santé physique, leur bien-être quà leur santé mentale et leur niveau de fonctionnement social et professionnel. Conclusion En conclusion, les préférence et contextes devraient être considérés dans le développement de programme dactivité physique. De plus amples recherches sont nécessaires pour savoir si les programmes orientés sur les préférences peuvent améliorer lactivité physique et la santé auprès de personnes ayant des troubles mentaux sévères. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/1395651 |