Login
Communauté Vinci
Extérieur
Si votre nom d'utilisateur ne se termine pas par @vinci.be ou @student.vinci.be, utilisez le formulaire ci-dessous pour accéder à votre compte de lecteur.
Titre : | Lien entre la qualité des interventions téléphoniques des infirmières auprès des adultes atteints de cancer et les visites évitables au service des urgences (2020) |
Auteurs : | Dawn Stacey ; Lynne Jolicoeur ; Katelyn Balchin ; Kate Duke ; Claire Ludwig ; Meg Carley ; Lindsay Jibb ; Craig Kuziemsky ; Suzanne Madore ; Lisa Rambout ; Jackie Romanick ; Michael M. Vickers ; Lorraine Martelli |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue canadienne de soins infirmiers en oncologie (Vol. 30, n° 3, Eté 2020) |
Article en page(s) : | p. 200-207 |
Note générale : | DOI:10.5737/23688076303200207 |
Langues: | Français ; Anglais |
Descripteurs : |
HE Vinci Assistance par téléphone ; Démarche qualité ; Respect des directives anticipées ; Services des urgences médicales ; Signes et symptômes ; Soins infirmiers en oncologie |
Résumé : | Un projet damélioration de la qualité a été mené afin de mesurer la qualité des interventions téléphoniques des infirmières auprès des patients présentant des symptômes associés au cancer. Les patients admissibles au projet avaient téléphoné à une infirmière pour signaler des symptômes dans les 4 semaines précédant une visite aux urgences qui navait pas requis dhospitalisation. Les infirmières spécialisées en oncologie qui ont extrait les données évaluaient la pertinence des visites aux urgences et les points à améliorer. Nous avons eu recours à un outil danalyse de la gestion des symptômes pour analyser la documentation du personnel infirmier. Sur 77 patients, 87 % des visites aux urgences ont eu lieu durant les 4 jours suivant un appel téléphonique justifié par la présence de symptômes (douleur, dyspnée, constipation, diarrhée, nausées ou vomissements, etc.). Dans 91 % des cas, une évaluation téléphonique plus exhaustive ou une consultation dans une clinique de soins durgence aurait suffi. Selon la documentation laissée par les infirmières, peu de patients ont été évalués adéquatement (38 %), ont bénéficié dune révision de la médication traitant leurs symptômes (49 %) ou ont reçu des conseils sur les stratégies de soins autoadministrés (17 %). La qualité de la prise en charge des symptômes effectuée au téléphone par les infirmières laissait à désirer et il aurait fallu trouver des solutions de rechange pour les patients nécessitant une évaluation durgence en personne. Ces constats font ressortir des lacunes dans lutilisation des directives sur la gestion téléphonique des symptômes. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | http://www.canadianoncologynursingjournal.com/index.php/conj/article/view/1073 |