Login
Communauté Vinci
Extérieur
Si votre nom d'utilisateur ne se termine pas par @vinci.be ou @student.vinci.be, utilisez le formulaire ci-dessous pour accéder à votre compte de lecteur.
Titre : | Participation au dépistage organisé du cancer colorectal et au dépistage du cancer de la prostate (2019) |
Auteurs : | Célia Berchi ; Guy Launoy |
Type de document : | Article |
Dans : | Santé Publique (Vol. 31, HS2, Hors-série 2019) |
Article en page(s) : | p. 19-32 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Appréciation des risques ; Dépistage de masse ; Dépistage précoce du cancer ; Dépistage systématique ; Diagnostic ; France ; Hommes ; Prise de décision ; Questionnaire ; Santé publique ; Tumeurs de la prostate ; Tumeurs du côlon |
Résumé : |
Le cancer de la prostate et le cancer colorectal sont, avec celui du poumon, les cancers les plus fréquents et les plus meurtriers chez lhomme en France. Malgré les preuves de lefficacité du dépistage du cancer colorectal, les taux de participation de la population aux programmes de dépistage organisé restent faibles. À linverse, les hommes sont nombreux à pratiquer un dosage sanguin de PSA pour détecter un éventuel cancer de la prostate, alors que cette technique nest pas recommandée par les autorités sanitaires françaises.
Objectif : Lobjectif de ce travail était didentifier, parmi les caractéristiques des programmes de dépistage du cancer de la prostate et du cancer colorectal, celles qui constituaient des freins ou, au contraire, des moteurs à la participation des hommes, afin de tenter dexpliquer les différences de participation entre ces dépistages. Méthode : Dans cette perspective, 1 008 hommes âgés de 50 à 74 ans ont été interrogés par questionnaire sur leurs préférences en matière de participation aux dépistages des cancers selon la méthode des choix discrets. Les réponses ont été analysées au moyen de modèles de régression qualitatifs. Résultats : Les résultats nont pas montré de différences majeures entre les processus de participation à ces deux dépistages. Ils ont confirmé le rôle central de linformation délivrée par le médecin dans la prise de décision. Ils ont également révélé une attitude surprenante des hommes à légard du risque de surdiagnostic qui invite à réfléchir à la compréhension et à la perception par la population de cette notion de « surdiagnostic » dans le dépistage des cancers. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.cairn.info/revue-sante-publique-2019-HS2-page-19.htm?contenu=article |