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Titre : | Débats entourant lobjection de conscience : le cas du don dorganes après laide médicale à mourir au Québec (2019) |
Auteurs : | J. Allard ; M.-C. Fortin |
Type de document : | Article |
Dans : | Ethique & santé (Vol. 16, n° 3, Septembre 2019) |
Article en page(s) : | p. 125-132 |
Note générale : | Doi : 10.1016/j.etiqe.2019.06.001 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Aide médicale ; Don d'organe ; Euthanasie ; Mort ; Québec |
Mots-clés: | Objection de conscience |
Résumé : |
Depuis décembre 2015, l’aide médicale à mourir, une pratique au centre de nombreux débats éthiques, est légalisée dans la province du Québec, au Canada. Ce nouveau type de décès a créé un tout nouveau contexte pour le don d’organes, soit le don d’organes après l’aide médicale à mourir. Le prélèvement des organes s’effectue alors suivant le protocole habituel du don d’organes après décès cardio-circulatoire contrôlé (catégorie Maastricht III), un protocole qui suscitait déjà de nombreux questionnements médico-éthiques. En outre, l’amalgame des deux pratiques soulève de nouveaux enjeux éthiques qui peuvent se traduire par des objections de conscience chez les médecins directement impliqués dans l’aide médicale à mourir et/ou le don d’organes. Or, une telle objection de conscience peut-elle être acceptable ? Nous tenterons de répondre à cette question en trois temps : d’abord, par un bref historique de l’objection de conscience ; ensuite, par une revue des débats actuels sur ce sujet ; enfin, par l’examen, à l’aide de critères recensés dans la littérature, de cas où les médecins refuseraient de participer au don d’organes après l’aide médicale à mourir. |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Ethique & santé. Vol. 16, n° 3 (Septembre 2019) | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |