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Titre : | Is chemotherapy rechallenge feasible in advanced-stage non-small-cell lung cancer? (2019) |
Titre original: | La réintroduction de chimiothérapie est-elle faisable au cours du traitement du cancer pulmonaire non à petites cellules de stade avancé ? |
Auteurs : | Xavier Mignard ; Anne-Marie Ruppert ; Armelle Lavolé ; Thibault Vieira ; Nathalie Rozensztajn ; Jacques Cadranel ; Marie Wislez |
Type de document : | Article |
Dans : | Bulletin du cancer (Vol. 106, n° 9, Septembre 2019) |
Article en page(s) : | p. 725-733 |
Langues: | Anglais |
Descripteurs : |
HE Vinci Carcinome pulmonaire non à petites cellules ; Chimiothérapie ; Thérapeutique |
Résumé : |
Introduction : Malgré des progrès récents, le traitement de première ligne des cancers bronchopulmonaires non à petites cellules (CBNPC) reste majoritairement un doublet à base de platine. Il nexiste pas de recommandations après la troisième ligne. La réintroduction de chimiothérapie est une option, mais peu de données sont disponibles. Notre étude vise à décrire les patients ayant eu une réintroduction de chimiothérapie, ainsi que sa faisabilité et sa tolérance.
Méthodes : Les patients consécutifs avec un CBNPC de stade avancé ayant reçu un traitement de première ligne à lhôpital Tenon en 2011 ont été inclus. Ceux ayant eu une réintroduction de chimiothérapie ont été comparés aux autres. Celle-ci était définie par la réutilisation dun agent de chimiothérapie utilisé antérieurement, avec au moins une ligne entre la primo-utilisation et la réutilisation. Résultats : Parmi 149 patients, 18 ont eu une réintroduction de chimiothérapie (12 %). Ils étaient plus jeunes (56 ans vs 61 ans, p=0,04), de sexe féminin (61 % vs 30 %, p=0,02), avec un adénocarcinome lépidique (23 % vs 35 %, p=0,03), un meilleur état général (PS 01 : 100 % vs 74 %, p=0,04) et moins de comorbidités cardiovasculaires (16 % vs 42 %, p=0,04). La survie sans progression était plus longue à la primo-utilisation quà la réintroduction (médiane 9,2 mois vs 2,7, p=0,002). Il ny avait pas de surcroît de toxicité à la réintroduction. Enfin, une ligne supplémentaire était possible après réintroduction chez 61 % des patients. Conclusion : La réintroduction de chimiothérapie fournit une ligne supplémentaire de traitement bien tolérée, avec une efficacité moindre par rapport à la primo-utilisation. |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Bulletin du cancer. Vol. 106, n° 9 (Septembre 2019) | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |