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Titre : | Hyperthyroïdie chez un sportif : aux frontières du surentraînement (2014) |
Auteurs : | Jean-Frederic Brun ; C. Boegner ; C. Fedou |
Type de document : | Article |
Dans : | Science et sports (2014/2, 2014) |
Article en page(s) : | pp. 95-100 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Hyperthyroidie ; Maladie de Basedow |
Mots-clés: | Triathlon |
Résumé : |
Introduction Nous rapportons lobservation dun homme de 38ans, maître nageur et triathlète, traité depuis quatre ans pour maladie de Basedow ayant récidivé à trois reprises. Il pratique 8 à 12h de sport par semaine. Synthèse des faits Le questionnaire SFMS retient une diminution de performance avec 35 items positifs sur 54, donc un score très élevé. Lenquête diététique dénombre 3233 kcal/24h dont 1,8g/kg par jour de protides. Il pèse 67,1kg, dont 59,3kg de masse maigre et 12 % de masse grasse. Un test deffort triangulaire montre une VO2-max à 58,2mL/min par kilogramme (147 % de la norme théorique) avec seuil ventilatoire à 55 % de cette VO2-max , mais avant son hyperthyroïdie ces valeurs auraient été 25 % plus élevées. En fait lhyperthyroïdie est parfaitement contrôlée selon les critères usuels avec 25mg/j de carbimazole, mais ce « parfait équilibre » est ressenti chez ce sportif comme comportant un état de tachycardie relative qui le gêne fortement dans sa pratique sportive et ses entraînements. Conclusion Cette observation montre que la normalisation dune hyperthyroïdie selon les critères usuels laisse persister chez un sportif une hypersympathicotonie qui crée léquivalent de la dysfonction sympathique de loverreaching . |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/887935 |