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Titre : | Polyarthrite rhumatoïde : réponse clinique précoce sous certolizumab prédictive dune faible activité de la maladie à un an en situation de vraie vie. Évaluation du registre italien GISEA (2017) |
Auteurs : | Florenzo Iannone, Auteur ; Giorgio Carlino, Auteur ; Antonio Marchesoni, Auteur |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue du rhumatisme (Vol. 84, n°6, Décembre 2017) |
Article en page(s) : | pp. |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Polyarthrite rhumatoide |
Résumé : |
Objectifs Lobjectif de cette étude était dévaluer si une bonne réponse EULAR à trois mois était prédictive dun faible activité de la maladie (FAM) à un an chez les patients atteints de polyarthrite rhumatoïde (PR) recevant du certolizumab pegol (CZP). Méthodes Nous avons analysé 278 patients atteints de PR figurant dans le registre national italien. Ces patients (âge 54,8+12 ans, durée de la maladie 9,8+8 ans, 84 % de femmes) dont la maladie était active débutaient un traitement biologique par CZP de première ligne (68 %) ou de ≥ deuxième ligne (32 %). Cette activité a été évaluée par le score dactivité de la maladie sur 28 articulations (DAS 28). Nous avons évalué une diminution >1,2 du score DAS 28 (bonne réponse EULAR) à trois mois et lobtention dune FAM (DAS 28 ≤3,2) à un an. Plusieurs modèles de régression ont été appliqués pour estimer les facteurs prédictifs dune bonne réponse EULAR précoce ou dune FAM. Résultats La proportion de patients obtenant une bonne réponse EULAR était de 52 % à trois mois, de 65 % à six mois et de 66 % à 12 mois. Par ailleurs, la FAM était atteinte à 12 mois chez 51,2 % (98/192) des patients. Pour les patients recevant du CZP comme traitement biologique de première ligne, lodds ratio (OR) ajusté de la bonne réponse EULAR à trois mois a été multipliée par six par rapport aux patients ayant reçu un ou plusieurs traitements biologiques auparavant (OR 6,7, IC 95 % 1,9723,1). La variable la plus fortement corrélée à une FAM à 12 mois était lobtention dune bonne réponse EULAR à trois mois (OR 11,3 ; IC 95 % 13,134,8). Conclusions Nos observations ont montré quune bonne réponse EULAR à trois mois était fortement prédictive dune FAM à un an chez des patients traités par CZP en situation réelle. |
Accès : | Article disponible sur EM-Premium via le proxy de la HE Vinci |
Disponible en ligne : | Non |