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Titre : | Étude des hospitalisations pour goutte dans un service de rhumatologie entre 2000 et 2010 Analyse rétrospective de 114 observations (2014) |
Auteurs : | Tristan Pascart, Auteur ; Emmanuel Biver, Auteur ; Cécile Wibaux, Auteur |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue du rhumatisme (2014/1, janvier 2014) |
Article en page(s) : | p.35/40 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Diagnostic ; Goutte ; Hospitalisation ; Thérapeutique |
Résumé : |
Introduction Lobjectif de cette étude est didentifier au cours de cette dernière décennie la fréquence et les modalités de recours à lhospitalisation en rhumatologie dans le cadre de la pathologie goutteuse. Méthodes Ont été inclus les dossiers dhospitalisation dans un service de rhumatologie dont le diagnostic principal était la goutte répondant au code DIM M109. Les motifs et modes dentrée en hospitalisation ont été étudiés ainsi que les caractéristiques des atteintes articulaires et leurs modalités de prise en charge diagnostiques et thérapeutiques. Résultats Cent quatorze dossiers entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2010 ont été analysés représentant 1,23 % des 9268 hospitalisations totales. Parmi les hospitalisations, 48,6 % se sont faites via le service des urgences, 11,7 % des patients ont été directement adressés par leur médecin traitant, 14,4 % par leur rhumatologue de ville et 13,5 % par un autre service hospitalier. Parmi les hospitalisations, 49,1 % ont été motivées pour prise en charge diagnostique dont 21,1 % pour suspicions darthrite septique, 38,6 % pour poussée articulaire jugée impossible à traiter en ambulatoire et 13,2 % pour discussion thérapeutique de gouttes réfractaires. La présence de cristaux durate de sodium dans le liquide articulaire a été identifiée chez 28,1 % des patients. Parmi les patients, 17,5 % ont bénéficié déchographies, ne retrouvant des signes spécifiques de goutte que chez une seule patiente. Conclusion La goutte représente une part très réduite de lactivité dun service hospitalier de rhumatologie mais cela pourrait évoluer avec létablissement de programmes déducation thérapeutique et larrivée des traitements ciblant linterleukine-1 et des uricases recombinantes. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/870416 |