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Accidents vasculaires cérébraux / Jean-Christophe Mino (2015)
Titre : Accidents vasculaires cérébraux : quelle médecine face à la complexité ? Type de document : Livre Auteurs : Jean-Christophe Mino ; Florence Douguet ; Elsa Gisquet Editeur : Paris : Les Belles Lettres Année de publication : 2015 Collection : Médecine & sciences humaines, ISSN 1768-5109 num. 25 Importance : 185 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-251-43035-5 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Accident vasculaire cérébral (AVC) ; Acharnement therapeutique ; Epistémologie ; Ethique ; Gériatrie ; Médecine ; Personne âgée fragile ; Réanimation ; Santé publique ; Soins intensifs ; Sujet âgéIndex. décimale : 17 ETHIQUE Résumé : À quel prix peut-on sauver la vie ? Une telle question taraude la médecine contemporaine lorsqu'elle réanime des malades avec des risques de lourdes séquelles.
Cest le cas des personnes touchées par un accident vasculaire cérébral (AVC). Avec 150 000 nouveaux cas par an, il sagit de la première cause de handicap acquis et de la troisième cause de mortalité dans notre pays.
Depuis peu, un traitement spécifique permet à ces patients déviter la mort et de limiter leurs séquelles. Une nouvelle médecine dite « neurovasculaire » émerge sous nos yeux. Mais ces progrès thérapeutiques nempêchent pas toujours un handicap sévère.
Faut-il limiter ou arrêter les traitements dans les situations complexes lorsque le cas est trop grave ? Comment accompagner dans cette épreuve les personnes et leurs familles ? Quelle doit être la place des soins palliatifs ?
Ce livre dévoile de lintérieur les dilemmes éthiques et pratiques des soins aux personnes atteintes dAVC graves dont la vie et la mort sont entre les mains des médecins. Parce que les AVC touchent surtout des personnes âgées à la santé fragile, il importe dinterroger les buts et les logiques que développe parfois sans le dire, sans le savoir peut-être, une médecine de la vieillesse. Quels soins voulons-nous pour nos proches âgés et pour nous-mêmes plus tard ? Quelle médecine faut-il alors promouvoir face à la complexité ?Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70867 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité 17 MIN Livre Woluwe Espace livres Prêt autorisé
DisponibleLes fondements de la bioéthique / Hugh Tristram Engelhardt (2015)
Titre : Les fondements de la bioéthique Type de document : Livre Auteurs : Hugh Tristram Engelhardt (1941-....), Auteur Editeur : Paris : Les Belles Lettres Année de publication : 2015 Collection : Médecine & sciences humaines, ISSN 1768-5109 num. 26 Importance : 608 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-251-43033-1 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Autonomie personnelle ; Avortement ; Bioéthique ; Consentement ; Droits des patients ; Epistémologie ; Ethique ; Infanticide ; Mort ; Philosophie ; Religion ; SociétéIndex. décimale : 17 ETHIQUE Résumé : The Foundations of Bioethics (1986) inscrit la bioéthique dans un cadre très large. L'auteur prend acte de l'impossibilité, dans les sociétés contemporaines, de parvenir à un consensus général en éthique : il nexiste pas daccord sur une conception du monde universellement recevable, rationnelle et dotée de contenu concret. Dans les sociétés laïques et pluralistes, les valeurs et les normes des individus diffèrent, parfois du tout au tout. Sous la seule exigence de résoudre les désaccords de façon pacifique, Hugo Tristram Engelhardt, Jr. distingue deux principes, différents mais complémentaires, qui permettent de construire à nouveaux frais une bioéthique acceptable.
Le principe dautonomie met en avant la liberté, caractérisée non comme une valeur à promouvoir, mais comme une condition de possibilité de léthique. Formel et dapplication universelle, il proscrit lusage de la violence, privée ou étatique, à lencontre des choix innocents, cest-à-dire des choix qui ne causent pas de préjudice aux personnes. Le principe de bienfaisance, fondé sur la sympathie et lintérêt pris à la traduire en acte, indique à quelles conditions on peut ou doit faire le bien dautrui. Concret, il ne peut se réaliser effectivement que dans le cadre de communautés diverses, avant tout des communautés de croyants, où il prend des formes elles-mêmes diverses, éventuellement aberrantes aux yeux des membres des autres communautés.
La bioéthique reconstruite sur ces fondements est parfois conforme au sens commun et à une certaine sagesse médicale traditionnelle, mais elle en diffère souvent de façon radicale, en particulier par laccent mis sur lautonomie des personnes, par opposition à la condition qui est celle des êtres humains.Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70852 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité 17 ENG Livre Woluwe Espace livres Prêt autorisé
DisponibleLa prison, un lieu de soin ? / Anne Lécu (2013)
Titre : La prison, un lieu de soin ? Type de document : Livre Auteurs : Anne Lécu, Auteur ; Jean-Marie Delarue, Préfacier, etc. Editeur : Paris : Les Belles Lettres Année de publication : 2013 Collection : Médecine & sciences humaines, ISSN 1768-5109 num. 20 Importance : 309 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-251-43030-0 Note générale : Bibliogr. p. 293-295. Index Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Ethique ; France ; Médecine ; Médecins ; Pratique professionnelle ; Prisons ; Santé mentale ; SoinsIndex. décimale : 305 INSTITUTION SOCIALE Résumé : « On va les soigner en prison! ». Qui n'a entendu cette phrase à l'occasion d'un fait divers tragique? Comme si la mission de la prison (punir et réinsérer) intégrait désormais un nouvel objectif: soigner. Or, la prison, à la différence de l¹hôpital, n'est pas un lieu de soin même si c'est un lieu où l'on soigne.
Le face à face du médecin et du patient incarcéré est une situation exemplaire pour toucher du doigt l'ambivalence de la prison, tendue pour ne pas dire déchirée entre ses deux finalités, répressive et préventive, mais aussi l'ambivalence de la médecine, prise à la fois dans la nécessité d'objectiver le corps malade et de s'adresser à une personne.
Cette réflexion sur la médecine carcérale défend l'idée que le médecin exerçant en prison est en danger quand, comme ses prédécesseurs du XIXe siècle, il se satisfait d'une approche scientiste, technique, cesse de s'occuper de son patient singulier, s'associe à l'institution pénitentiaire afin d'établir le « profil » des personnes captives, décider de leur vulnérabilité, ou de leur dangerosité, et enferme les personnes dans leur conduite nommée comportement , au lieu de les aider à retrouver du jeu, de la liberté, de la vie.
Dans son exercice en milieu pénitentiaire, le médecin peut résister, en faisant ce qu'il sait faire, de la médecine, en luttant contre les dispositifs illusoires qui visent à la transparence, à l'évaluation et à la prévision, et en gardant l'exigence éthique au centre de son métier.Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=69743 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité 36 LEC Livre Woluwe Espace livres Prêt autorisé
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