Allergies alimentaires (1e partie) |
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| Percentile. Vol. 24, n° 3 (Juin - Juillet 2019) | Périodique papier | Woluwe | périodiques | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierLes réactions «allergiques» aux médicaments anti-infectieux chez l’enfant / C. Ponvert in Percentile, Vol. 24, n° 3 (Juin - Juillet 2019)
Titre : Les réactions «allergiques» aux médicaments anti-infectieux chez l’enfant Type de document : Article Auteurs : C. Ponvert Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 6-11 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Anti-infectieux ; Antibactériens ; Enfant (6-12 ans) ; Facteurs de risque ; Hypersensibilité ; Hypersensibilité médicamenteuseRésumé : Sept à 15% des enfants rapportent des réactions présumées allergiques aux médicaments, antibiotiques notamment, mais les études ayant comporté des bilans allergologiques montrent que seulement 10–15% de ces réactions résultent d’une réelle hypersensibilité (HS) médicamenteuse, le risque allergique augmentant avec la précocité et la gravité des réactions. Outre une anamnèse «policière», le diagnostic repose classiquement sur les tests cutanés (TC) médicamenteux, s’ils sont fiables et validés, et sur les tests de réintroduction/provocation médicamenteux (TPM), s’ils sont justifiés, la valeur diagnostique des examens biologiques étant faible. Cependant, la tendance actuelle est à proposer des TPM prolongés d’emblée pour les réactions non immédiates et non préoccupantes en raison de la faible valeur diagnostique des TC à lecture retardée, de la rareté des récidives aux TPM et, si récidives il y a, de leur caractère le plus souvent bénin. Dans l’attente du bilan, tous les antibiotiques de la même classe et des classes voisines (par exemple toutes les pénicillines et céphalosporines de 1ère génération, en cas de réaction à l’amoxicilline) sont contre-indiqués dans les réactions anaphylactiques et/ou de chronologie immédiate, le risque de réactivité croisée étant élevé, sauf pour les macrolides. Dans les autres cas, on peut prescrire des antibiotiques de la même famille, mais de structure différente, le risque de réactivité croisée étant faible. La grande majorité des enfants rapportant des réactions à plusieurs familles d’antibiotiques ne sont allergiques à aucun de ces médicaments. Il faut alors penser à une possible HS allergique ou non allergique («intolérance») à d’autres médicaments, notamment aux antalgiques non opiacés, aux antipyrétiques et aux anti-inflammatoires non stéroïdiens, très souvent prescrits en même temps que les antibiotiques. Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=239381
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Titre : Le gluten et ses multiples facettes Type de document : Article Auteurs : Stéphanie Colinet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 15-18 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Blé ; Gluten ; Hypersensibilité ; Maladie coeliaque ; Régime sans glutenRésumé : Un nombre croissant de patients suivent un régime sans gluten pour des symptomatologies variables et pour des raisons qui ne sont pas toujours justifiées. Il existe 3 types de pathologies liées au gluten: la maladie cœliaque, l’allergie au blé et l’hypersensibilité au gluten non cœliaque. Beaucoup de confusion existe concernant les pathologies liées au gluten. Elles ont des similitudes, mais également des différences significatives tant sur le plan clinique que physiopathologique et thérapeutique. Il importe de les différencier afin de poser un diagnostic correct. Ces 3 pathologies nécessitent un régime d’éviction du gluten ou du blé. Le gluten est le terme usuel servant à désigner les protéines de stockage (les prolamines) issues du blé, du seigle et de l’orge. Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=239382
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Titre : À fleur de peau : les botanistes et la dermatologie Type de document : Article Auteurs : Jean Andris Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 19-20 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Botanique ; Dermatite ; Dermatologie ; PeauRésumé : Les premières classifications des lésions cutanées sont inspirées des classifications systématiques mises au point par les... botanistes. Mais quelle est donc la genèse d’un tel système? Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=239383
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Titre : La sclérose en plaques de l'enfant Type de document : Article Auteurs : Helene Verhelst Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 21-24 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Anticorps ; Enfant (6-12 ans) ; Pédiatrie ; Sclérose en plaquesRésumé : La sclérose en plaques (SEP) de l’enfant est une maladie rare, qui se différencie à divers égards de la SEP de l’adulte. En règle générale, la SEP pédiatrique est une maladie plus active, caractérisée par des poussées plus fréquentes et une plus grande atteinte cérébrale à la RMN (résonance magnétique nucléaire). La SEP pédiatrique se présente souvent avec un tableau polyfocal, et ce avec et sans encéphalopathie. Les clichés RMN initiaux montrent souvent une atteinte atypique, avec des lésions plus diffuses, aux contours mal définis, et plus souvent une atteinte du tronc cérébral et du cervelet. Lorsqu’une SEP se déclare chez un jeune enfant, la maladie doit être considérée comme un «trouble du développement du cerveau», ce qui implique un risque accru de problèmes cognitifs. Bien que les enfants connaissent généralement des poussées plus graves, ils se rétablissent mieux et leur score EDSS (Expanded Disability Status Scale) augmente rarement durant les premières années de la maladie. Il importe toutefois de noter que, du fait que la maladie commence plus tôt, les enfants SEP atteignent un score EDSS de 4 en moyenne 10 ans plus tôt et qu’ils évoluent vers une SEP secondaire progressive en moyenne 10 ans plus tôt aussi. Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=239384
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Titre : Le syndrome de Klinefelter : actualités cliniques et thérapeutiques Type de document : Article Auteurs : Hernan Valdes-Socin ; Rodolfo Rey ; Luc Coppens ; Mauricette Jamar ; Vincent Bours ; Albert Beckers Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 25-28 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Aberrations des chromosomes ; Infertilité ; Syndrome de Klinefelter ; Troubles du développement sexuelRésumé : En 1942, Harry Klinefelter et collaborateurs décrivent chez neuf hommes un syndrome caractérisé par une gynécomastie, des petits testicules, une aspermatogenèse, la présence de cellules de Leydig et une excrétion augmentée d’hormone folliculostimulante. À la fin des années cinquante, la physiopathologie du syndrome chez ces hommes s’enrichira par la découverte de 47 chromosomes, avec un chromosome X supplémentaire. Le syndrome de Klinefelter est variable d’un point de vue génotypique, puisque 80% des patients expriment de façon homogène un caryotype (47, XXY), 10% des patients présentent une formule variante et les autres 10% sont porteurs d’une mosaïque. De nos jours, le syndrome de Klinefelter représente l’anomalie chromosomique la plus fréquente chez l’homme. On retrouve une prévalence allant de 1/1.000 jusqu’à 1/500 naissances, se traduisant par un hypogonadisme et une infertilité. Certaines séries suggèrent une plus grande prévalence de néoplasies chez ces sujets, tels que le cancer du sein. En ce qui concerne la prise en charge du syndrome de Klinefelter, le traitement par testostérone peut être considéré chez l’adulte lorsque les taux de testostérone sont inférieurs à 10nmol/l (3ng/ml). Des études sont en cours, vis-à-vis des bénéfices cardiométaboliques de l’androgénothérapie au long terme chez ces patients. D’autres études rando-misées chez l’enfant Klinefelter tentent de prouver le bénéfice cognitif d’une imprégnation de courte durée et ce chez le garçon avant l’âge de deux ans. Sur le plan de la fertilité, les avancées de la reproduction assistée (microdissection testiculaire et extraction de sperme) ont permis aux hommes avec le syndrome de Klinefelter d’engendrer des enfants. Dans cet article de synthèse, nous présentons quelques avancées dans le diagnostic et la prise en charge de ce syndrome qui, dans sa complexité, ne nous a pas encore dévoilé tous ses secrets. Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=239385
in Percentile > Vol. 24, n° 3 (Juin - Juillet 2019) . - p. 25-28[article]Exemplaires (1)
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Titre : Épilepsie et grossesse : la polémique de l’acide valproïque Type de document : Article Auteurs : Dominique Bayot Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 29-34 Langues : Français (fre) Descripteurs : HE Vinci
Acide valproïque ; Epilepsie ; Grossesse ; Tératogenèse ; Traitement médicamenteux ; Trouble autistiqueRésumé : L’émotion soulevée par les accidents dus à l’usage de l’acide valproïque pendant la grossesse fait oublier l’importance de l’affection pour laquelle le médicament avait été prescrit. C’est pourquoi il nous a semblé utile de recadrer quelque peu le débat et de tracer des balises pour l’avenir. Disponible en ligne : Non Permalink : https://bib.vinci.be/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=239386
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