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Titre : | Est-ce que lentrainement aérobie sous-maximal a plus dintérêt que le repos chez les jeunes athlètes commotionnés pour la diminution des symptômes et un retour au jeu plus rapide ? |
Auteurs : | Pierre Challes ; Amandine Vanderhaegen, Promoteur |
Type de document : | Travail de fin d'études |
Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2024 |
Format : | 71 p. / Ill. en coul. |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Adolescent ; Athlètes ; Commotion de l'encéphale ; Exercice physique ; Retour au sport |
Résumé : |
Introduction : Les commotions cérébrales sont un problème majeur dans le monde du sport et surtout à ladolescence, quand le cerveau est en plein développement. Elles peuvent survenir après un ou plusieurs contacts à la tête, mais également après un contact dirigé dans le corps du sportif. Les sportifs peuvent subir une multitude de symptômes qui peuvent devenir chroniques et alors souffrir dune intolérance à leffort liée à la cascade métabolique qui sopère dans le corps. Lentraînement aérobie sous-maximal pourrait permettre aux patients de baisser leur symptomatologie et de les réadapter à leffort en contrebalançant cette cascade métabolique.
Objectif : Opérer une revue systématique de la littérature scientifique dans le but de comparer les effets du repos relatif et les effets dune prise en charge kinésithérapeutique avec un entrainement aérobie sous-maximal sur la symptomatologie des patients pédiatriques commotionnés. Résultats : Sur les 7 études sélectionnées pour notre revue de synthèse systématique, 6 sont des études randomisées contrôlées et 1 est une étude comparative. En comparaison intergroupe, 5 études nous présentent des effets statistiquement significatifs en faveur de lentraînement aérobie sous-maximal. Les 2 autres ne montrent pas de différence significative, mais comportent certains biais, notamment le fait davoir des échantillons de participants trop petits, ne permettant pas daffirmer si lune ou lautre des interventions est plus efficiente. Conclusion : Les résultats obtenus permettent de mettre en avant un effet positif de lentraînement aérobie sous-maximal sur les symptômes commotionnels, supérieur au repos. Les études qui ne montrent pas le même résultat soulignent toutes les deux la petite taille de leur échantillon et donc lincapacité de pouvoir en tirer des conclusions, mais affirment que lentraînement aérobie sous-maximal naggrave pas les symptômes. |
Disponible en ligne : | Non |
Département du TFE : | Kinésithérapie |
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