| Titre : | L’impact de l’activité physique sur la qualité de vie des enfants atteints d’une leucémie lymphoblastique aiguë : revue de synthèse systématique |
| Auteurs : | Marie Turmel ; Laure Vandervelde, Promoteur |
| Type de document : | Travail de fin d'études |
| Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2020 |
| Format : | 96 p. |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Enfant (6-12 ans) ; Exercice physique ; Leucemie lymphoblastique aigue ; Qualité de vie |
| Résumé : |
Contexte actuel : La leucémie lymphoblastique aiguë (LLA) est le cancer le plus fréquent chez l’enfant. En Belgique, le taux de survie chez l’enfant est supérieur à 85 % 10 ans après la rémission de son cancer. Cependant les symptômes, ainsi que les traitements de la LLA ont toujours un impact négatif sur la qualité de vie des enfants. Or, l’impact positif de l’activité physique sur la qualité de vie a pu être démontré chez l’adulte présentant une pathologie oncologique. Il serait donc intéressant d’évaluer l’effet d’un programme d’activité physique sur la qualité de vie des enfants atteints de LLA.
Objectifs : L’objectif de ce mémoire est d’évaluer les effets de l’activité physique sur la qualité de vie des enfants atteints d’une leucémie lymphoblastique aigüe. Méthodologie : Pour élaborer cette revue systématique la base de données Pubmed a été utilisée avec comme équation de recherche : "acute lymphoblastic leukemia" AND ("child" OR "children") AND ("Training" OR "Physical Therapy" OR "exercise" ) AND "Quality of life". Résultats : 8 articles ont été sélectionnés. Parmi eux, 3 études sur 4 montrent une diminution significative des douleurs et blessures grâce à la pratique d’activité physique. Aussi, 2 études sur 3 mettent en évidence une diminution des difficultés cognitives. Les autres variables évaluées dont la qualité de vie globale ne sont pas améliorées de manière significative par la mise en place d’une intervention d’activité physique chez les enfants atteints de LLA. Néanmoins aucun participant n’a rapporté d’effets indésirables suite à la mise en place d’un programme d’activité physique. Conclusion : Il ressort de cette revue systématique que la qualité de vie n’est que partiellement améliorée par l’activité physique. Or, la qualité de vie reste une variable multidimensionnelle, complexe qui est difficile à évaluer. Néanmoins, La pratique d’activité physique chez les enfants atteints de LLA lui est profitable à condition que les spécificités de sa maladie soient prises en compte. |
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| Disponible en ligne : | Oui |
| Département du TFE : | Kinésithérapie |
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