| Titre : | Faisabilité d’un programme supervisé d’exercice physique chez des patients atteints d’un cancer pulmonaire pendant la radiothérapie : mémoire expérimental |
| Auteurs : | Nicolas Corenthin ; Gilles Caty, Promoteur ; Elise Piraux, Promoteur ; Grégory Reychler, Promoteur |
| Type de document : | Travail de fin d'études |
| Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2020 |
| Format : | 46 p. |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | TFE - Kinésithérapie |
| Descripteurs : |
HE Vinci Exercice physique ; Fatigue ; Radiothérapie ; Tumeurs du poumon |
| Résumé : |
Introduction
Le but premier de cette étude est de déterminer si la réalisation d’une activité physique est faisable chez des sujets atteints du cancer du poumon pendant leur traitement par radiothérapie (RT). Le second objectif est de voir si un programme d’activité physique a un impact sur les paramètres évalués chez les patients. Méthode Les patients ont été divisés en deux groupes : un groupe entraînement et un groupe témoin. Le groupe entraînement a été évalué par sept tests en début et en fin de traitement par RT, à savoir le FACT-L, le HADS, le 6MWT, le HANDGRIP test, le STS test, le FACIT – Fatigue Subscale, et le MDP. Ce même groupe participe au programme d’entraînement à raison de trois séances par semaine pendant sept semaines, soit la durée du traitement par RT des patients. Le groupe témoin a été évalué par le FACT-L et le HADS en début et en fin de traitement par RT, sans avoir reçu d’entraînement. Cela a permis de comparer leur évolution avant et après la RT, en ayant ou pas bénéficié d’un entraînement. Résultats La faisabilité de l’activité physique pour ces patients a été prouvée par le taux de recrutement, le taux de rétention et l’absence d’effets indésirables liés à l’activité physique. Concernant le groupe entraînement, les tests HADS, 6MWT, STS et MDP ont montré une évolution positive ou un maintien des résultats entre pré et post-intervention. Les résultats du groupe témoin ont montré une évolution positive pour le test FACT-L et, à l’inverse, une évolution négative des résultats du test HADS entre pré et post-intervention. Conclusion Les résultats prouvent que la pratique d’activité physique pendant la RT chez des patients atteints d’un cancer du poumon est faisable et pourrait avoir un éventuel impact sur les paramètres évalués. Afin d’approfondir le rapport entre l’entraînement physique et l’évolution observée chez le patient, il est nécessaire d’effectuer une étude à plus grande échelle. |
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| Disponible en ligne : | Oui |
| Département du TFE : | Kinésithérapie |
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