| Titre : | Intervalle inter-génésique : Impact des grossesses rapprochées sur le risque de prématurité du nouveau-né et d’anémie maternelle |
| Auteurs : | Laurine Gérardin, Auteur ; Camille Gouin, Auteur ; Ana B. Hernandez Garcia, Promoteur ; Stéphanie Romnée, Promoteur ; Louise Richard, Promoteur |
| Type de document : | Travail de fin d'études |
| Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2024 |
| Format : | 124 p. |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | TFE - Sage-femme |
| Descripteurs : |
HE Vinci Anémie ; Grossesse ; Intervalles génésiques ; Nouveau-né ; Prématuré ; Prématurité |
| Résumé : |
Introduction : Dans le monde, 95% des grossesses rapprochées surviennent dans les pays en voie de développement selon l’OMS. L’intervalle intergénésique court est associé à des résultats obstétricaux et néonataux défavorables. Le but principal de cet article est d’identifier comment les grossesses rapprochées influent sur les issues materno-foetales, plus précisément sur la prématurité du nouveau-né et l’anémie maternelle. Et l’objectif secondaire est de tenter de déterminer l’intervalle optimal entre les grossesses, afin de réduire les risques materno-foetaux.
Méthode : Une revue de la littérature a été menée sur quatre bases de recherche : Pubmed, Tripdatabase, Cochrane library et ScienceDirect, publiée à partir de 1990. Résultats : Nous avons sélectionné 15 articles s’intéressant aux risques de grossesses rapprochées sur les issus materno-foetales. Les résultats sont majoritairement uniformes : un intervalle court entre les grossesses est associé à un risque significativement accru d’accouchement prématuré et d’anémie maternelle. Discussion : La présence de nombreux biais empêche une appréciation optimale des résultats. La nécessité d’une réduction des biais méthodologiques est nécessaire dans les futures études de cette thématique. Conclusion : Selon les analyses, un intervalle court entre les grossesses augmente le risque d’accouchement prématuré et d’anémie chez la mère. Les intervalles optimaux, situés entre 12 et 23 mois, semblent offrir un risque plus faible. Ces résultats soulignent l'importance de l'espacement des naissances pour réduire les risques associés aux naissances prématurées. |
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| Disponible en ligne : | Oui |
| Département du TFE : | Sage-femme |
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