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Titre : | Existe-t-il une corrélation entre des antécédents de violences sexuelles et le développement de troubles urinaires, anorectaux et sexuels ? : revue systématique |
Auteurs : | Savannah Woodhouse ; Charlotte Lequeux, Promoteur |
Type de document : | Travail de fin d'études |
Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2024 |
Format : | 53 p. / ill. en coul. |
Langues: | Français |
Index. décimale : | TFE - Kinésithérapie |
Descripteurs : |
HE Vinci Abus sexuel ; Dyspareunie ; Incontinence urinaire ; Troubles du plancher pelvien |
Mots-clés: | Anisme |
Résumé : |
Contexte : En Belgique, 64% des personnes entre 16 et 69 ans ont été exposées à au moins
une forme de violence sexuelle au cours de leur vie. Les troubles urinaires, anorectaux et sexuels ont également une prévalence importante. Par exemple, lincontinence urinaire touchera 51% des femmes au cours de leur vie et la dyspareunie entre deux tiers et 75%. Lanisme concerne entre 20 et 81% des patients atteints de constipation chronique. Des études ont pu établir une corrélation entre des antécédents dabus sexuels et le développement de certains de ces troubles mais aucune étude ne regroupe à la fois des troubles urinaires, anorectaux et sexuels, à la fois chez la femme et chez lhomme. Il est par conséquent difficile davoir une vision suffisamment complète de la problématique. Objectif : Lobjectif de ce mémoire sera donc de rassembler les informations existantes afin de répondre à la question : « Existe-t-il une corrélation entre des antécédents de violences sexuelles et le développement de troubles urinaires, anorectaux et sexuels ? ». Méthode : Ce mémoire prend la forme dune revue de synthèse narrative et la littérature scientifique a été parcourue au travers des bases de données Pubmed, ScienceDirect et Cochrane Library. Résultats : En ce qui concerne lincontinence urinaire, les études se contredisent et bien que plusieurs mettent en évidence une corrélation chez la femme, les résultats restent mitigés. Au sujet de lanisme, les études indiquent une corrélation mais des études plus récentes sont nécessaires. Concernant la dyspareunie, bien que certaines études avancent le contraire, la majorité des études mettent en évidence une corrélation. Conclusion : Le diagnostic dabus sexuel représente un intérêt en termes de temps gagné et defficacité de la prise en soins. Le kinésithérapeute devrait être conscient de toute une série déléments devant lui faire penser à rechercher des antécédents dabus sexuels. |
Accès : | Identifiez-vous avant d'accéder au document électronique |
Disponible en ligne : | Oui |
Département : | Kinésithérapie |
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