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Titre : | La néophobie alimentaire : Education alimentaire destinée à améliorer l'acceptation de légumes et légumineuses chez les enfants d'écoles primaires de Woluwe-Saint-Lambert |
Auteurs : | Julie Cat, Auteur ; Adélaïde Domken, Promoteur |
Type de document : | Travail de fin d'études |
Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2023 |
Langues: | Français |
Index. décimale : | TFE - Diététique |
Mots-clés: | Haricots ; Santé de lenfant ; établissements scolaires ; Fabacées ; Service de santé scolaire ; Institutions éducatives ; Collège ; Santé scolaire ; écoles primaires ; Institutions éducative ; sélectivité alimentaire ; consommation alimentaire ; Enseignement ; Comportement ; Tatillonnage alimentaire ; Régulation de lappétit ; Formation ; Instinct ; Appétit ; Communication ; Comportements instinctifs |
Résumé : |
Ce travail porte sur la néophobie alimentaire qui est la peur de goûter de nouveaux aliments. Il sagit dune phase normale du développement de lenfant, elle touche surtout les enfants entre lâge de 2 et 10 ans. Cette phase peut perdurer dans le temps et engendrer des conséquences néfastes sur la santé de la personne dâge adulte. Cette néophobie se produit souvent avec des légumes et légumineuses, ils sont souvent boudés par les enfants et ne sont même pas goûtés.
Le but de ce travail de fin détudes est de voir si la réduction de la néophobie alimentaire des enfants est possible grâce à des activités en classe pour leur faire découvrir des légumes inconnus. De plus, ce travail de familiarisation avec des légumes inconnus pourrait permettre de réduire le gaspillage alimentaire lors des repas chauds dans les écoles. Nous avons commencé par créer les trois ateliers de dégustation ainsi qu'un jeu de cartes qui servira pendant les animations, il aidera les enfants à pouvoir reconnaitre les aliments quils vont goûter. Un questionnaire de néophobie a été réalisé pour pouvoir évaluer la néophobie auprès des enfants avant et après notre intervention. Ensuite pour les animations, il a fallu cuisiner pour que les enfants puissent goûter. Les animations proposées aux enfants étaient différentes pour ne pas quils se lassent mais les aliments proposés étaient toujours les mêmes. Avant les animations, nous avons interrogé les parents pour savoir les légumes/légumineuses connus par les enfants. Ensuite, nous avons pris un questionnaire de néophobie alimentaire pour évaluer cette néophobie chez chacun deux. Nous avons évalué cette néophobie au début et à la fin des ateliers pour voir sil y avait une évolution. Cette néophobie a diminué chez 53% des enfants. Nous avons également regardé le gaspillage lors des repas chauds, nous constatons quil y en a beaucoup certains jours car le menu nest pas aimé par les enfants. Nous avons pu voir que le questionnaire pour les premières était fort long, peut-être aurions-nous dû le faire compléter à dautres moments plutôt que pendant les animations. Le retour dun ou deux professeurs était que lanimation était longue pour des petits, capter leur attention aussi longtemps était compliqué. Un plus grand nombre danimations dans chaque classe aurait permis de diminuer la néophobie étant donné que le nombre dessais de présentations dun aliment a un impact sur la diminution de la néophobie. Par contre, nous avons pu remarquer que nos animations avaient déjà eu un impact sur plus de la moitié des enfants. |
Disponible en ligne : | Non |
Lieu du stage : | Woluwe-Saint-Lambert |
Département : | Diététique |
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