| Titre : | Relativité et ondes électromagnétiques (2023) |
| Auteurs : | François Delmas, Auteur |
| Type de document : | Article |
| Dans : | le BUP (1053-1054-1055, Avril-mai-juin 2023) |
| Article en page(s) : | p. 387-396 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Electromagnétisme |
| Résumé : | En 1865, le physicien écossais James Clerk Maxwell, s’appuyant sur les idées de Michael Faraday, publie les équations fondamentales de l’électromagnétisme. Il comprit rapidement que la lumière était un phénomène électromagnétique. Mais sa disparition survenue alors qu’il était jeune (48 ans) ne lui permit pas de connaître la découverte des ondes hertziennes, preuve éclatante de validité de sa théorie. Il ne connut pas non plus une avancée spectaculaire de la physique avec les travaux d’Albert Einstein sur la relativité restreinte et pourtant cela était en germe dans la théorie électromagnétique. D’ailleurs Einstein lui-même, dans son fameux article du 30 juin 1905 « De l’électrodynamique des corps en mouvement » exprime sa conviction que les lois de Maxwell soient en accord avec le « principe de relativité » au même titre que les lois de la mécanique. Aujourd’hui, les équations de Maxwell sont souvent prises comme postulat dans les cours d’électromagnétisme et tous les étudiants physiciens apprennent qu’elles sont pleinement cohérentes dans le cadre de la relativité restreinte énoncée un demi-siècle après ! Dans l’article qui suit, après des rappels sur la relativité galiléenne puis la relativité restreinte, je me propose de montrer simplement que la structure de l’onde électromagnétique plane progressive, déduite des équations de Maxwell, est incompatible avec la relativité galiléenne, mais devient cohérente en relativité restreinte. |
| Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
| Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|
| le BUP. 1055 (Avril-mai-juin 2023) | Périodique papier | Louvain-la-Neuve | Etagère des revues | Prêt autorisé Disponible |
