Login
Communauté Vinci
Extérieur
Si votre nom d'utilisateur ne se termine pas par @vinci.be ou @student.vinci.be, utilisez le formulaire ci-dessous pour accéder à votre compte de lecteur.
Titre : | Parasites, champignons et atteintes oculaires (2023) |
contenu dans : | |
Auteurs : | Hélène Yera ; Marie-Fleur Durieux ; Dominique CHABASSE ; Marie-Laure Dardé |
Type de document : | Article |
Dans : | Revue francophone des laboratoires (Vol 2023, n°552, mai 2023) |
Article en page(s) : | p. 44-60 |
Note générale : | https://doi.org/10.1016/S1773-035X(23)00110-7 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Maladies parasitaires ; Mycoses ; Oeil ; Toxoplasmose |
Mots-clés: | amibe libre |
Résumé : |
Les parasitoses et mycoses oculaires regroupent de nombreuses pathologies dont la sévérité varie selon la nature du parasite ou du champignon. Elles peuvent menacer la vue, aussi doivent-elles être diagnostiquées et traitées en urgence. Elles surviennent dans des circonstances différentes (traumatisme, greffe de cornée, contexte immunosuppresseur local ou général, séjour en zone tropicale, pratiques traditionnelles particulières).
Linfection peut être isolée ou intégrée dans une infection systémique. Le diagnostic clinique de ces infections est souvent difficile car les lésions peuvent ne pas être spécifiques à lagent pathogène. Par conséquent, le diagnostic biologique est primordial pour permettre une prise en charge adéquate. Celui-ci est réalisé selon différentes stratégies en fonction des lésions et des agents infectieux suspectés. Il nécessite une combinaison de différents tests microbiologiques (examen direct, culture, PCR, sérologie) et doit tenir compte de la difficulté, du risque invasif et des faibles volumes des prélèvements oculaires. Le recours à des laboratoires spécialisés (mycologie-parasitologie), voire experts, est ainsi inévitable. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1773035X23001107 |