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Titre : | Impact de la première vague de la pandémie de COVID-19 sur les étudiants en santé français (2023) |
Titre original: | Impact of the first wave of the COVID-19 pandemic on French Health students |
Auteurs : | Franck Rolland ; Ariel Frajerman ; Bruno Falissard ; Gilles Bertschy ; Bertrand Diquet ; Donata Marra |
Type de document : | Article |
Dans : | L'Encéphale (Vol. 49, n°3, juin 2023) |
Article en page(s) : | p. 219-226 |
Note générale : | https://doi.org/10.1016/j.encep.2021.12.004 |
Langues: | Français ; Anglais |
Descripteurs : |
HE Vinci COVID-19 ; Détresse psychologique ; Étudiants des professions de santé ; Santé mentale |
Résumé : |
Durant la première vague de la pandémie de COVID-19 en France, les professionnels et étudiants en santé ont été intensément mobilisés pour faire face à laugmentation exponentielle des besoins de soins dans le système de santé. Une étude française dans 21 unités de soins intensifs au cours du premier mois de confinement a révélé que la prévalence des symptômes danxiété et de dépression chez les soignants était de 50,4 %, et 30,4 % respectivement. En revanche, peu études se sont consacrées à lévaluation de la détresse psychologique des étudiants en santé durant cette période. Dans la population générale des étudiants français, une étude a révélé que la prévalence des pensées suicidaires, de la détresse grave et du niveau élevé de stress perçu pendant la première vague était de 11,4 %, 22,4 % et 24,7 % respectivement. Lobjectif de notre étude est dévaluer limpact du COVID-19 sur la santé mentale des étudiants en santé (médecine, soins infirmiers, pharmacie, maïeutique, odontologie, ergothérapie, orthoptie, orthophonie, psychomotricité, audioprothésiste) en France pendant la 1re vague.
Un questionnaire en ligne a été proposé du 11 avril au 30 mai 2020 auprès des étudiants en santé de France. La diffusion a été réalisé par lintermédiaire de réseaux sociaux et de mails de différents groupes institutionnels (conférences des doyens, présidents duniversité, Centre National dappui à la qualité de vie des étudiants en santé ). Le questionnaire comprenait léchelle de Kessler en 6 items (K6), la Social Provision Scale SPS-10, la consommation de drogues et de psychotropes et lévaluation du sommeil. Les tests du Chi2 et test exact de Fisher ont été utilisés pour comparer la prévalence entre les groupes. Par la suite, des modèles de régression logistique ajustés sur lâge et le sexe ont été utilisés (analyses multivariées). Un total of 4411 étudiants ont répondu: 39 % présentaient une détresse modérée et 21 % une détresse élevée à léchelle de détresse psychologique de Kessler. Plusieurs facteurs de risque de détresse psychologique ont été retrouvés: être une femme (p |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0013700622000355#kwd0010 |