Login
Communauté Vinci
Extérieur
Si votre nom d'utilisateur ne se termine pas par @vinci.be ou @student.vinci.be, utilisez le formulaire ci-dessous pour accéder à votre compte de lecteur.
Titre : | Maux de tête chez lenfant et ladolescent en Flandre (2023) |
Auteurs : | Sarah Mingels ; Marita Granitzer |
Type de document : | Article |
Dans : | Percentile (Vol. 28, n° 1, 15 janvier - 15 mars 2023) |
Article en page(s) : | p. 20-22 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Adolescent ; Céphalées ; Enfant (6-12 ans) ; Flandre ; Pédiatrie |
Résumé : | Bien que les céphalées pédiatriques soient un problème prévalent à léchelle mondiale, les données manquent à ce sujet pour la Flandre. Une cartographie de leur prévalence est néanmoins nécessaire pour évaluer la gravité du problème et, ensuite, instaurer un traitement rapidement. Ce traitement des céphalées pédiatriques devrait partir dun cadre de réflexion multidimensionnel. Il convient, dans ce contexte, dinventorier la consommation de médias numériques, les caractéristiques socio-démographiques et le niveau dactivité. Une équipe de chercheurs a récemment répertorié ces données en interrogeant 424 jeunes flamands, filles et garçons, âgés de 5 à 18 ans (5-7 ans: n = 58; 8-11 ans: n = 84; 12-15 ans: n = 137; 16-18 ans: n = 145). Les critères de jugement primaires étaient la prévalence des céphalées (maux de tête ressentis au cours des 3 derniers mois), les caractéristiques des céphalées (fréquence, durée, intensité) et les caractéristiques socio-démographiques. Les critères de jugement secondaires étaient les caractéristiques de lutilisation de médias numériques et le niveau dactivité physique. La prévalence des céphalées sur la base de cette étude transversale sélevait à 55%. Elle augmentait avec lâge. Les différences entre garçons et filles devenaient manifestes pour le groupe le plus âgé, où les filles de 16 à 18 ans signalaient davantage de maux de tête que les garçons. La première activité responsable de céphalées était lutilisation de médias numériques. De même, la prévalence des céphalées était plus élevée chez les enfants à haut niveau dactivité physique (> 2 activités par semaine, pour une durée moyenne de 2 à 4 heures). Nos résultats sont analogues aux chiffres européens de prévalence des céphalées pédiatriques. Des études complémentaires simposent toutefois afin de mieux comprendre cette affection (p. ex., type de maux de tête, critères diagnostiques) et ses éventuels facteurs déclenchants. |
Disponible en ligne : | Oui/Non |
En ligne : | https://flipflashpages.uniflip.com/3//61981/1127354/pub/document.pdf |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Percentile. Vol. 28, n° 1 (15 janvier - 15 mars 2023) | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |