| Titre : | Intérêts de l’évaluation de l’anxiété lors du bilan initial du patient selon les masseurs-kinésithérapeutes libéraux du Grand Est : étude qualitative (2022) |
| Auteurs : | Hélène Herzog ; Hélène Marinho ; Laurence Mauduit |
| Type de document : | Article |
| Dans : | Kinésithérapie, la revue (Vol. 22, n° 250, Octobre 2022) |
| Article en page(s) : | p. 39-41 |
| Note générale : | https://doi.org/10.1016/j.kine.2021.11.001 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Anxiété |
| Mots-clés: | Bilan initial ; Évaluation psychosociale |
| Résumé : |
Au vu du taux de stress dans la population française et de son impact sur le corps, l’évaluation de l’anxiété, un des items de l’évaluation psychosociale, devrait faire partie du rôle des masseurs-kinésithérapeutes (MK).
Le stress est un symptôme provoqué par un état d’anxiété ou par un trouble anxieux. Il induit une réaction adaptative du corps (stress adapté) ou au contraire, une réaction pathologique de somatisation (stress dépassé). Selon la HAS, l’anxiété est un trouble de l’humeur qui se traduit par des émotions de peur et/ou des inquiétudes et/ou des signes physiques de stress excessifs par rapport aux dangers éventuels. À la différence du stress, qui se ressent au moment présent, une personne qui a peur de ce qui pourrait arriver dans le futur ressent de l’anxiété. Lorsque la personne ne parvient plus à gérer son anxiété, on parle de trouble anxieux, un état d’anxiété pathologique. Plus de 20 % de la population française - avec une prédominance dans la région Grand Est - présenterait au moins une fois dans sa vie un trouble anxieux susceptible d’induire des troubles psychosomatiques. Si l’on réduit la population totale à la population des patients d’un cabinet, plus de 20 % d’entre eux sont susceptibles de présenter un trouble anxieux qui pourrait freiner l’évolution du traitement. |
| Disponible en ligne : | Oui |
| En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/1544836 |
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