| Titre : | Thessaly peut-il devenir le test clinique de référence pour diagnostiquerles déchirures méniscales et éviter de passer par l’imagerie médicale? : revue de synthèse systématique |
| Auteurs : | Paul Cuny ; Cécile Jacques, Promoteur |
| Type de document : | Travail de fin d'études |
| Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2022 |
| Format : | 64 p. |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Dechirure ; Diagnostic ; Imagerie médicale ; Ménisque |
| Mots-clés: | Test clinique Thessaly |
| Résumé : |
Contexte:le gold standard actuel pour les déchirures méniscales est l’imagerie médicale, mais elle n’est pas accessible pour tous (coût, accès aux infrastructures, ...). Les tests physiques classiques (Mc Murray,Appley, JLTT) neprésentent pas à eux seuls une précision diagnostique suffisante pour les dépister.L’apparition en 2005 du test de Thessaly20°pourrait se substituer aux autres méthodes.
Objectif:l’objectif de ce mémoire est de rechercher si le test de Thessalypeut approcher la précision d’un gold standard (imagerie médicale)pour dépister les déchirures méniscales.Méthode:les bases de données Google scholar, PubMed et science Direct ont été utilisées pour cette revue systématique. Cette recherche inclut des articles scientifiques anglophones des 10 dernières années (2012-2022). Résultats: après analyse des 9articles retenus, on observe que les résultats concernant la spécificité, la sensibilité et la précision diagnostique du test de Thessaly sont très hétérogènes et n’approchent pas toujours l’efficacité de l’imagerie médicale. Certains auteurs pensent qu’une combinaison de tests physiques intégrant le test de Thessaly obtient de meilleurs résultats, suffisants pour constituer un dépistage clinique en première ligne.D’autres pensent qu’avoir recours à un cluster de tests physiques est recommandé pour orienter vers l’imagerie médicale, mais ne peut s’y substituer. Conclusion:aujourd’hui, le test de Thessaly 20° ne semble pas pouvoir constituer un gold standard pour le diagnostic des déchirures méniscales. Réaliser des études plus rigoureuses permettrait de vérifier s’il peut le devenir, peut-être pour une population plus ciblée, pour éviter l’IRM avant l’arthroscopie. |
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| Disponible en ligne : | Oui |
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