| Titre : | Comment la distraction permet-elle de moduler la douleur procédurale des enfants hospitalisés âgés entre 6 et 12 ans? |
| Auteurs : | Florinne Brisaert, Auteur ; Sylvie Kinon, Promoteur ; Isabelle Richet, Conseiller scientifique |
| Type de document : | Travail de fin d'études |
| Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2022 |
| Format : | 68 p. |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | TFE - Infirmier Responsable de Soins Généraux |
| Descripteurs : |
HE Vinci Distraction ; Douleur ; Enfant (6-12 ans) ; Hôpitaux ; Soins infirmiers |
| Résumé : |
Contexte et objectif : La rédaction de ce travail est basée sur la revue de littérature en vue de l’obtention du diplôme de bachelier infirmier responsable en soins généraux. Ma problématique portera sur les enfants et plus particulièrement sur les moyens de distraction que nous pouvons utiliser durant un soin infirmier afin de moduler la douleur chez les enfants âgés entre 6 et 12 ans. L’objectif de ce travail est de démontrer l’efficacité de différentes méthodes de distraction ainsi que les bienfaits de celles-ci sur la douleur procédurale.
Méthode : Cette revue de la littérature a été réalisée à partir de ma question de recherche. J’ai établi ma recherche documentaire à l’aide de plusieurs moteurs de recherche et principalement sur Cinhal et Pubmed. En se basant sur mes mots clés ainsi que sur les critères d’inclusions et d’exclusions, j’ai retenu sept articles que j’ai analysés. Résultats : Les auteurs concluent tous qu’il est intéressant d’utiliser des moyens de distraction durant les soins chez les enfants. Certaines distractions se sont révélées plus efficaces que d’autres mais il est toujours préférable et bénéfique d’en utiliser une plutôt que d’être passif à côté de l’enfant. Discussion : Après la mise en relation des différents résultats entre eux et également avec les différents concepts, la théorie du Caring de Jean Watson et le modèle des soins humanistes, j’ai pu dégager des éléments pertinents de réponse à ma question de recherche. Par la suite, cela m’a permis d’établir et de proposer des recommandations pour la pratique infirmière, la recherche et l’enseignement. Conclusion : Les méthodes de distraction lors d’un soin chez les enfants âgés entre 6 et 12 ans ont montré leur efficacité sur la douleur procédurale. L’utilisation de la distraction doit devenir un automatisme pour le personnel soignant. Il est impératif de cibler la distraction en tenant compte de l’âge de l’enfant, ses capacités, ses compétences, ses préférences, … |
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| Disponible en ligne : | Oui |
| Département du TFE : | Infirmier Responsable de Soins Généraux |
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