| Titre : | De l’alimentation passive à l’alimentation active chez les nouveau-nés prématurés : analyse des différentes interventions des soignants |
| Auteurs : | Manon Constant, Auteur ; Claire-Emmanuelle Jaillet, Auteur ; Barbara Lepere, Conseiller scientifique ; Nataly Filion, Promoteur |
| Type de document : | Travail de fin d'études |
| Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2022 |
| Format : | 64 p. |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | TFE - Sage-femme |
| Descripteurs : |
HE Vinci Allaitement naturel ; Phénomènes physiologiques nutritionnels chez le nourrisson ; Prématuré ; Sage-femme |
| Résumé : |
Introduction : D’après l’OMS, environ 15 millions d’enfants naissent prématurément chaque année. Une des principales complications de ces enfants est la difficulté d’alimentation. Les prématurés ont besoin d’une alimentation complète pour subvenir à leurs besoins élevés en énergie. L’AM établit et maintient un lien entre le bébé et sa maman et garantit aussi, une meilleure santé pour l’enfant. Il serait donc intéressant de mettre en place ce type d’alimentation chez les prématurés.
Méthodologie : Notre travail a pour but d'étudier les interventions de la SF et des soignants afin de mettre en place un allaitement au sein chez les prématurés et d’analyser le passage de l’alimentation passive à l’alimentation active. Notre recherche scientifique a été effectuée sur deux bases de données : pubmed et cairn info. Résultats : 12 études ont été retenues. La plupart de nos articles ont relevé un temps de transition plus rapide entre l’alimentation passive et l’alimentation active pour les groupes d’intervention et un retour à domicile précoce. Certains articles indiquent un taux d’AM supérieur pour les groupes ayant utilisé des tétines ou ceux ayant reçu un soutien et des informations supplémentaires. Discussion : Nous avons constaté de nombreux biais présents dans les études. Mais les articles se rejoignent en montrant un impact positif des différentes interventions sur le temps de transition vers une alimentation orale et sur les taux d’AM. On relève un poids inférieur pour les groupes d’intervention à la sortie de l’hôpital mais peut être dû à leurs sorties précoces. Conclusion : Nous pouvons donc conclure que de multiples interventions telles que l’utilisation de la tétine, de la succion non nutritive ou encore de la stimulation orale, peuvent être mises en place par les SF et soignants afin de réduire le temps de transition entre l’alimentation passive et l’alimentation active. Ces interventions sont bénéfiques également en termes de prise de poids, de durée d’hospitalisation et donc de retour à domicile plus précocement. |
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| Disponible en ligne : | Oui |
| Département du TFE : | Sage-femme |
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