| Titre : | La peinture corporelle aux sources de la peinture moderne (2021) |
| Auteurs : | Muriel Devey Malu-Malu, Auteur |
| Type de document : | Article |
| Dans : | Francophonies du monde (7, Juillet-août 2021) |
| Article en page(s) : | p. 22-23 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Afrique ; Art ; Corps humain ; Esprit humain ; Maquillage ; Masques (équipement de protection) ; Peinture ; Relation corps esprit ; République démocratique du Congo (RDC) ; Rite (sociologie) ; Sculpture ; TechniqueAutres descripteurs Corporeite |
| Résumé : | Au Congo-Brazzaville, la peinture n'est pas née avec la célèbre Ecole de Poto-Poto, créée en 1951 par le Français Pierre Lods. Depuis des décennies, et bien avant la période coloniale, les populations du bassin du Congo ont utilisé la peinture, notamment corporelle et sur masques, pour exprimer leur vision du monde et de la société, embellir et guérir le corps et l'esprit, ou indiquer la fonction et le statut d'une personne. Peintre et sculpteur congolais, Rémy Mongo Etsion s'inspire largement de cet héritage, en particulier celui des Tékés, groupe dont il est originaire. Il explique les fonctions et les techniques de cet art qui a largement influencé la peinture moderne congolaise d'aujourd'hui |
| Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
| Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|
| Francophonies du monde. 7 (Juillet-août 2021) | Périodique papier | Louvain-la-Neuve | Etagère des revues | Prêt autorisé Disponible |
