| Titre : | Le traitement non médicamenteux permet-il d’atténuer la douleur d’un prématuré lors d’un acte invasif ? |
| Auteurs : | Astrid de Villenfagne de Vogelsanck, Auteur ; Mélina Lucas, Promoteur ; Marie Techer, Conseiller scientifique |
| Type de document : | Travail de fin d'études |
| Editeur : | Woluwe-Saint-Lambert : Haute École Léonard de Vinci, 2021 |
| Format : | 94 p. |
| Langues: | Français |
| Index. décimale : | TFE - Infirmier Responsable de Soins Généraux |
| Descripteurs : |
HE Vinci Douleur liée aux interventions ; Hospitalisation ; Prématuré ; Thérapies complémentaires |
| Résumé : | Depuis sa naissance, le prématuré subit plusieurs fois par jour des actes douloureux durant son hospitalisation. Pendant ceux-ci, la douleur n’est pas toujours prise correctement en charge. Durant ce travail, l’objectif est d’analyser si les différents traitements non médicamenteux sont efficaces pour diminuer la douleur lors d’un acte invasif chez les prématurés de moins de 28 semaines à 37 semaines de gestation afin de mieux la prendre en charge. Après analyse, nous allons déterminer leur efficacité et choisir s’il est opportun de les recommander pour la pratique infirmière. Suite à l’analyse des recherches, les résultats obtenus montrent que l’utilisation des différentes méthodes non médicamenteuses se sont révélés efficaces pour atténuer la douleur chez les prématurés. Lors de la combinaison de ceux-ci, ils ont montré qu’ils étaient très efficaces pour diminuer la douleur. Dans la discussion, nous retrouvons l’interprétation des résultats trouvés dans les différents articles choisis. Plusieurs chapitres différents sont évoqués par rapport aux différentes informations trouvées. Nous trouvons 4 points différents : les méthodes non médicamenteuses, la douleur, le lien avec la théorie choisie et les limites à discuter. Des recommandations ont été identifiées pour la pratique infirmière et pour la recherche. Après de nombreuses recherches et analyses, j’ai pu remarquer que les différentes méthodes permettent aux prématurés de se sentir bien, d’être moins anxieux et d’avoir moins mal lors d’un acte douloureux. Cependant, pour certaines méthodes, plus de recherches seraient à envisager pour avoir un niveau de preuve plus élevé et ainsi pouvoir les recommander dans la pratique infirmière. |
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| Disponible en ligne : | Oui |
| Département du TFE : | Infirmier Responsable de Soins Généraux |
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