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Titre : | Pratiques collaboratives : pourquoi faire autrement ? - L'organisation de la régionale sur un mode coopératif - L'accompagnement pédagogique des formateurs, le coconstruction et la coanimation - Le métier de formatrice dans un groupe multiniveau (2020) |
Auteurs : | Aurélie Audemar |
Type de document : | Article |
Dans : | Le Journal de l'alpha (217, 2e trimestre 2020) |
Article en page(s) : | p. 20-48 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Accompagnement de l'apprenant ; Alphabétisation des adultes ; Coopération ; Formateur ; Gestion de groupe ; Organisation du travail |
Résumé : |
Cet article rédigé sous forme d'interview suit le fil des réflexions de trois actrices de l'alpha, une formatrice, une accompagnée pédagogique et une chargée de projet avec lesquelles j'ai essayé de comprendre pourquoi collaborer, coopérer, aussi bien dans les groupes de formation qu'en équipe, leur semble si "naturel". Au cours de notre échange, nous avons petit à petit mis à jour ce qui rend, dans leur réalité professionnelle, les pratiques coopératives possibles, au point qu'elles ont oublié que ce pourrait être autrement. Nous avons creusé ce que bien d'autres lieux ignorent, là où la compétition est encouragée sous couvert qu'elle serait inhérente à l'espèce humaine : "la loi du plus fort".
En les écoutant et en leur donnant la parole, j'espère modestement déconstruire le mythe selon lequel nous aurions besoin de maitres et d'organisation pyramidale pour fonctionner. Et montrer que faire équipe nécessite avant tout d'avoir des projets communs que l'on construit ensemble, collectivement. Cet interview se divise en trois parties liées les unes les autres. Dans la première,Bénédicte Mengeot, Yolande Boulanger et Stéphanie Urbain racontent l'organisation du travail de ma régionale de Lire et Ecrire Centre-Mons-Borinage (pp. 22-26). Dans la partie suivante (pp. 27-35), elles expliquent l'accompagnement pédagogique des formateurs, les pratiques de coconstruction et de coanimation, en s'attardant sur comment sont travaillées en équipe les tensions que traversent les pratiques d'alphabétisation populaire dans un contexte d'Etat social actif. A la suite, dans la dernière partie (pp. 36-47), Stéphanie Urbain livre sa vision de son métier de formatrice dans un groupe multiniveau. Contrairement à ce qu'on peut couramment entendre, l'hétérogénéité du groupe n'est pas une difficulté pour elle mais plutôt un défi quotidien, une opportunité pour questionner régulièrement ses pratiques. Ce qu'elle fait avec le groupe, en interrogeant avec "qu'apprendre ensemble" mais aussi "comment apprendre ensemble". |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Le Journal de l'alpha. 217 (2e Trimestre 2020) | Périodique papier | Ixelles | Rez | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |