| Titre : | L’hyperglycémie provoquée orale : à pratiquer à la 1re, 2e heure, ou en dernière heure ? (2020) |
| Auteurs : | Louis Monnier ; Claude Colette |
| Type de document : | Article |
| Dans : | Médecine des maladies métaboliques (Vol. 14, n° 7, November 2020) |
| Article en page(s) : | p. 645-650 |
| Note générale : | doi:10.1016/j.mmm.2020.10.002 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci État prédiabétique |
| Mots-clés: | hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) ; Glycémies à la 1re et 2e heure |
| Résumé : | En association avec la glycémie à jeun et l’HbA1c, l’hyperglycémie provoquée orale (HGPO) peut être utilisée pour dépister les états prédiabétiques. Le consensus est de considérer que la glycémie de la 2e heure est l’un des marqueurs permettant de repérer les patients ayant un diabète patent ou une intolérance au glucose. Depuis plusieurs années, un nombre croissant d’experts ont recommandé l’utilisation de la glycémie à la 1re heure, qui est plus pertinente pour classer les désordres glycémiques et pour prédire la survenue de complications vasculaires. Toutefois, en raison de son coût, de sa faible reproductibilité et des contraintes qui en résultent pour le patient, l’HGPO devrait rester facultative et être réservée aux cas où la glycémie à jeun et l’HbA1c donnent des résultats ambigus. |
| Disponible en ligne : | Oui |
| En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S1957255720300225 |
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