| Titre : | Neutralisation des antigoagulants oraux directs (AOD) (2020) |
| Auteurs : | Georges Jourdi |
| Type de document : | Article |
| Dans : | Revue de biologie médicale (354, mai juin 2020) |
| Article en page(s) : | p. 05-13 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Anticoagulants ; Coagulation sanguine ; Médicaments ; Surveillance |
| Résumé : | Dix ans après la commercialisation des anticoagulants oraux directs (AOD), seul le dabigatran dispose en Europe d’un antidote spécifique, l’idarucizumab. Un antidote des xabans, l’andexanet-α est mis sur le marché aux États-Unis depuis mai 2018 et a reçu un avis favorable du Comité des médicaments à usage humain de l’Agence européenne des médicaments en mars 2019. Contrairement aux anti-vitamines K, les AOD ont des demi-vies relativement courtes. Par conséquent, la nécessité de neutralisation de leurs effets anticoagulants, par recours à des antidotes spécifiques ou, à défaut, à des agents pro-hémostatiques, n’est pas systématique. Dans la présente revue de la littérature, trois questions en rapport avec la neutralisation des AOD sont discu-tées. La réversion de l’effet anticoagulant des AOD est-elle nécessaire ? Comment ? Et quelle est la place du suivi biologique dans cette situation ? |
| Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
| Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|
| Revue de biologie médicale. 354 (mai juin 2020) | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |
