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Titre : | Ça. Aux origines de la coulrophobie (2016) |
Auteurs : | Sebastian Dieguez |
Type de document : | Article |
Dans : | Cerveau & psycho (80, Septembre 2016) |
Article en page(s) : | p. 94-97 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Neurosciences |
Mots-clés: | Troubles phobiques ; Horreur |
Résumé : |
Stephen King, le maître incontesté de l'horreur contemporaine, a souvent reconnu qu'il n'allait pas chercher très loin son inspiration : « Les gens me demandent ce qui me fait peur. Tout me fait peur. Les insectes [
], être coincé dans un ascenseur
Les avions [
] J'ai peur du noir. À peu près tout m'effraie. » Au fil de son uvre, il n'a fait qu'explorer ses peurs d'enfant et d'adulte, dans leurs innombrables déclinaisons. L'une de ses créations les plus emblématiques est sans nul doute « Grippe-Sou le clown dansant » (Pennywise en anglais), figure grotesque et terrifiante du roman Ça (1986). Stephen King l'aurait imaginé après s'être demandé ce qui effrayait les enfants « plus que tout au monde ». Sa conclusion : les clowns. De fait, ces derniers sont des « méchants » récurrents dans la littérature fantastique, la bande dessinée et le cinéma d'horreur. Pensez par exemple à la marionnette de Poltergeist ou au Joker de Batman. Toutes ces figures clownesques terrifiantes ont sans conteste contribué à donner mauvaise presse au personnage du clown. Mais comment expliquer qu'il se soit retrouvé dans des fictions d'horreur en premier lieu ? Pourquoi est-ce qu'un personnage destiné au départ à amuser enfants et adultes déclenche-t-il une telle terreur ? |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Cerveau & psycho. 80 | Périodique papier | Ixelles | Rez | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |