| Titre : | La misophonie : quand les bruits rendent fou (2015) |
| Auteurs : | Judith Chetrit, Auteur |
| Type de document : | Article |
| Dans : | Cerveau & psycho (72, Novembre-Décembre 2015) |
| Article en page(s) : | p. 34-39 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Bruit ; Cerveau ; Intolérance ; Maladies ; Stress |
| Mots-clés: | Misophonie |
| Résumé : |
C'est la première fois que Gilliane, mère de deux enfants, rencontre des gens qui souffrent autant qu'elle. « Je ne peux plus manger à côté de mon fils. La dernière fois, il m'a dit qu'il allait essayer de faire moins de bruit pour rester avec moi », glisse-t-elle, les larmes aux yeux, lors d'un déjeuner. Également présente à cette réunion, Émilie, une jeune trentenaire qui fronce les sourcils au moindre son dérangeant, déclare : « Mon ancien petit ami me disait qu'il avait besoin de faire fonctionner toutes ses papilles gustatives. Je pense que j'ai rompu à cause de ça. » Assises autour d'elles, trois autres femmes dressent la liste des sons qu'elles ne supportent plus : mastication, reniflement, claquement, craquement voire la simple vision de gestes répétitifs. Comme une façon de rompre un isolement et trouver ce que l'on a en commun avec les autres. « Ah, le bruit de quelqu'un qui se coupe les ongles. C'est le pire ! » renchérit Gilliane, pourtant responsable d'un restaurant où le niveau sonore n'est pas de tout repos. |
| Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
| Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|
| Cerveau & psycho. n° 72 (Novembre-Décembre 2015) | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |
