| Titre : | Body composition, blood pressure and cardiorespiratory functional capacity in elite athletes (2017) |
| Titre original: | Composition corporelle, pression artérielle et aptitude aérobie chez des sportifs de haut niveau |
| Auteurs : | T. Durmic ; M. Djelic ; D. Lovic |
| Type de document : | Article |
| Dans : | Science et sports (2017/3, 2017) |
| Article en page(s) : | pp. 81-91 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Athlètes ; Composition corporelle ; Pression artérielle |
| Mots-clés: | Répartition du tissu adipeux |
| Résumé : |
Objectifs L’entraînement régulier en endurance chez les sportifs est associée à une valeur élevée de consommation maximale d’oxygène (VO2 max), à des valeurs basses de pourcentage de masse grasse corporelle (GC %) et un meilleur contrôle de la pression artérielle (PA). On connaît pourtant mal les relations entre ces changements adaptatifs et les modifications du GC % chez des sportifs de haut niveau. Cette étude avait pour objectif d’évaluer l’influence de la composition corporelle sur les valeurs de PA au repos et à l’effort et sur la consommation maximale d’oxygène chez des sportifs de haut niveau. Matériel et méthodes Au total, 194 sportifs de haut niveau ont été inclus dans cette étude. Selon la recommandation de l’Organisation mondiale de la santé, les athlètes sont divisés en fonction du GC % en trois groupes : faible : ≤8, optimal : 9–19 %, obèse : ≥20 %. Les mesures anthropométriques, la PA systolique (SPA) et diastolique (DPA) la VO2 max et la PA au maximum de l’effort ont été mesurés à l’occasion d’une épreuve d’effort maximale sur tapis roulant jusqu’à épuisement. Résultats Soixante-seize des athlètes (39 %) avaient un GC % faible, 107 (55 %) avaient un GC % optimal et 11 (5 %) étaient dans la catégorie obèse. L’incidence de l’hypertension artérielle (SPA≥140 et/ou DPA≥90mmHg) était de 4 % dans le faible pourcentage de GC %, 6 % dans le groupe à GC % optimal et de 21 % dans la catégorie obèse. Les athlètes dans la catégorie obèse avaient des valeurs significativement plus élevées de SPA, de DPA au repos et de DPA au maximum de l’effort, et avaient une VO2 max inférieure à celle de tous les autres athlètes (p |
| Disponible en ligne : | Oui |
| En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/1123014 |
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