| Titre : | Les douleurs persistantes des victimes de la torture (2018) |
| Auteurs : | Balz Winteler ; Dominique Monnin |
| Type de document : | Article |
| Dans : | Kinésithérapie, la revue (Vol. 18, n°203, Novembre 2018) |
| Article en page(s) : | p. 15-16 |
| Note générale : | Doi : 10.1016/j.kine.2018.06.008 |
| Langues: | Français |
| Descripteurs : |
HE Vinci Accès aux soins ; Douleur ; Douleur chronique ; Emigrants et immigrants ; Recommandations ; Victime ; Violence |
| Mots-clés: | Séquelles dues à la torture ; Handicap physique ; Offre thérapeutique |
| Résumé : | Les douleurs persistantes (chroniques) sont courantes chez les victimes de torture [1, 2]. Les blessures causées par les tortures restent souvent longtemps sans traitement. Les personnes touchées sont atteintes de handicaps physiques et de troubles du système moteur, de problèmes psychologiques et d’une altération des relations interpersonnelles. En outre, les victimes de torture qui vivent en exil connaissent souvent des difficultés sociales, juridiques et pratiques (statut de demandeur d’asile, racisme, abris de fortune, barrières linguistiques, incertitude quant à la localisation des membres de la famille et des amis). De plus, elles éprouvent de l’incertitude quant au recours aux services de santé et de la crainte à l’égard des autorités [3]. Par ailleurs, nos systèmes de santé ne sont pas adaptés au traitement des victimes de la torture. Il n’existe dès lors pas d’uniformité dans les offres thérapeutiques [4]. |
| Disponible en ligne : | Non |
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