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Titre : | Maladie de Parkinson et kinésithérapie : enquête sur les pratiques des kinésithérapeutes libéraux de France métropolitaine (2015) |
Auteurs : | Karen Léonard ; Michaël Vander Maren |
Type de document : | Article |
Dans : | Kinésithérapie, la revue (164/165, Août 2015) |
Article en page(s) : | p. 53-61 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Enquête ; Épidémiologie ; Maladie de Parkinson ; Physiopathologie |
Mots-clés: | Kinésithérapie ; Lignes directrices |
Résumé : |
Introduction La maladie de Parkinson est une affection neurologique, dégénérative peu connue du grand public, caractérisée par un déficit en dopamine entraînant une symptomatique motrice et non motrice. Elle touche surtout les personnes âgées. Or avec le vieillissement de la population, elle devient de plus en plus présente dans notre société. Objectif Sa prise en charge, bien que médicamenteuse, est également basée sur la kinésithérapie. Diverses recommandations ont été publiées à ce sujet, nous avons résumé les dernières dans ce mémoire. Cependant, quen est-il sur le terrain ? Lobjectif de lenquête est danalyser la prise en charge kinésithérapique pour la maladie de Parkinson réalisée en libéral en France Métropolitaine, et de voir les modalités dapplication de celle-ci (versant qualitatif et quantitatif). Matériel et méthode Nous avons contacté 597MK libéraux de France métropolitaine selon un protocole défini soit 1 % des kinésithérapeutes libéraux de France. Deux cent trente deux réponses ont été obtenues sur les 597MK appelés (38,9 %). Résultats Notre étude montre que les patients parkinsoniens sont pris en charge dans les cabinets libéraux, mais que le nombre de prise en charge reste faible, « moins de 10 patients par an et par kinésithérapeute ». La fréquence de PEC est en moyenne de 2 fois/semaine. Les MK sont 4,71 % à réaliser lensemble des techniques évoquées dans les recommandations canadiennes de 2012. Discussion La discussion nous permet davancer de nombreuses hypothèses : manque de prescription des médecins, manque de temps de la part des kinésithérapeutes, manque de formation des kinésithérapeutes face à cette pathologie. Les études faites dans dautres pays sont en concordance avec nos résultats. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://login.ezproxy.vinci.be/login?url=https://www.em-premium.com/article/995515 |