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Titre : | Les effets du yoga, comparés à ceux dun traitement conservateur kinésithérapeutique, sur la douleur et le handicap fonctionnel, dans la prise en charge dadultes souffrants de lombalgie chronique. Revue de synthèse systématique Mémoire |
Auteurs : | Sabrina VAN DER HORST, Auteur |
Type de document : | Travail de fin d'études |
Editeur : | Bruxelles : Parnasse-ISEI, 2018 |
Format : | 102pp. |
Langues: | Français |
Index. décimale : | TFE - Kinésithérapie |
Descripteurs : |
HE Vinci Douleur ; Education ; Lombalgie ; Traitement par les exercices physiques ; Yoga |
Résumé : |
Contexte : La lombalgie est un problème reconnu dans le monde entier. Reprise comme le trouble musculosquelettique le plus répandu dans les pays industrialisés, il est impératif dévoluer vers un traitement efficace pour minimiser les coûts auprès des soins de santé. La polypharmacie dans lexcès auprès des patients lombalgiques chroniques (LC) inquiète et pousse la recherche de traitement alternatif autre que lexercice physique. Celui-ci ayant déjà fait ses preuves, les méthodes qui travaillent le corps et lesprit, comme le yoga, sont encore à prouver. Objectif : Lobjectif de ce travail est de démontrer lefficacité du yoga sur la douleur, le handicap fonctionnel, chez les adultes LC, par rapport au traitement conservateur kinésithérapeutique (lexercice physique, léducation). Il est question de pouvoir recommander davantage une des méthodes plus que lautre. Méthode : Les articles analysés ont été trouvés dans la base de données Pubmed. Ils ont été publiés en anglais et seules les études RCT sur les 15 dernières années (2003-2018) avec des sujets humains ont été sélectionnées. Résultats : Sur 5 des 6 articles sélectionnés, on nobserve aucune supériorité du yoga par rapport à lexercice physique. Tous deux démontrent des améliorations significatives, sans que limpact clinique soit plus important dun côté ou de lautre, au niveau de la douleur et du handicap fonctionnel. Ceci étant vrai à des périodes temporelles différentes et en fonction du protocole utilisé. En outre, une seule supériorité significative peut être émise : celle entre le yoga et léducation, à moyen terme, tant au niveau de la douleur que du handicap fonctionnel. Conclusion : Actuellemnt, le yoga nest pas supérieur à lactivité physique, mais bien à léducation lorsquelle est réalisée seule. Cependant, le yoga napporte aucun effet néfaste auprès des patients LC. Son efficacité au niveau de la douleur et du handicap fonctionnel est attestée. Cest pourquoi on peut proposer cette méthode thérapeutique en complément aux patients LC. |
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Disponible en ligne : | Oui |
Département : | Kinésithérapie |
Documents numériques (1)
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