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Titre : | Prévalence de la douleur en radiothérapie et amélioration de sa prise en charge (2018) |
Auteurs : | Raphaëlle Dantigny ; Arnaud Tanty ; Philippe Fourneret ; Nicolas Genin ; Béatrice Bayet-Papin ; Mireille Mousseau ; Ngoc-Hanh Hau Desbat |
Type de document : | Article |
Dans : | Bulletin du cancer (Vol. 105, n° 12, Décembre 2018) |
Article en page(s) : | p. 1183-1192 |
Note générale : | https://doi.org/10.1016/j.bulcan.2018.08.011 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Analgésiques ; Connaissances, attitudes et pratiques en santé ; Douleur liée aux soins ; Effets indésirables ; Evaluation de la pratique ; Gestion de la douleur ; Mesure de la douleur ; Radiothérapie ; Tumeurs de la tête et du cou ; Tumeurs du cerveau ; Tumeurs osseuses |
Mots-clés: | Évaluation des pratiques médicales par des pairs ; Centres antidouleur ; Orientation vers un spécialiste ; douleur cancéreuse |
Résumé : |
Objectif de létude
Étude de prévalence de la douleur, de ses caractéristiques et de sa prise en charge dans un service de radiothérapie dun centre hospitalier général français. Rechercher des stratégies damélioration des pratiques afin de mieux dépister et traiter les patients douloureux. Méthodes En partenariat avec léquipe spécialisée en douleur, réalisation dune enquête transversale sur la douleur via un questionnaire standardisé. Le recueil a été réalisé sur 2 jours auprès de tous les patients traités dans le service. Résultats Parmi les 91 patients interrogés, 63,7 % avaient une douleur dans la vie quotidienne. Il sagissait respectivement de 100 %, 85,7 % et 83,3 % des patients traités sur lencéphale, pour des métastases osseuses et pour un cancer ORL. Seuls 7,7 % des patients avaient une douleur lors des séances. Parmi les patients douloureux, 70,7 % avaient un traitement antalgique et 68,2 % le considéraient comme suffisamment efficace. Si 51,6 % des patients connaissaient lexistence dune consultation spécialisée douleur à lhôpital, cette dernière na été proposée quà 5,5 % des patients. Elle offre des soins non médicamenteux. Conclusions Cette étude confirme limportance, la sous-évaluation et la prise en charge insuffisante de la douleur en service de radiothérapie. Nous proposons de dépister les patients les plus à risques, par lutilisation dun questionnaire standardisé et un recours aux équipes spécialisées en cas de besoin. Une manipulatrice en électroradiologie pourrait tenir un rôle de référente douleur. La prise en charge de la douleur reste un travail déquipe, en lien avec les unités spécialisées. |
Disponible en ligne : | Non |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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REV | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |