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Titre : | Parler des coûts avec un prestataire de soins ne figure pas parmi nos habitudes (2017) |
Auteurs : | Sigrid Vancorenland ; Hervé Avalosse ; Karen Mullié ; et al. |
Type de document : | Article |
Dans : | MC-Informations (268, juin 2017) |
Article en page(s) : | p. 40-51 |
Langues: | Français |
Descripteurs : |
HE Vinci Coûts des soins de santé ; Droits des patients ; Personnel de santé |
Résumé : |
La Mutualité chrétienne (MC) s'engage pleinement en faveur des droits du patient. Chaque année, la MC, Samana et Altéo mettent l'un de ces droits en lumière le 18 avril, journée européenne des droits du patient. Cette année, il s'agit du droit à recevoir à l'avance toutes les informations relatives au traitement, y compris ses répercussions financières. L'action Droits du patient attire en 2017 l'attention sur la transparence financière. Le message important est le fait que le patient a droit à une information préalable concernant le coût d'un traitement. Le prestataire de soins doit en informer le patient spontanément, mais un patient peut lui-même parler du prix avec le prestataire. Cela fait en effet partie de la relation thérapeutique. Afin de sensibiliser le plus grand nombre sur ce point, la MC, Samana et Altéo ont développé un plan échelonné et une vidéo d'animation. Dans la perspective de cette journée des droits du patient, une enquête en ligne à laquelle ont répondu quelques 5530 personnes a permis de vérifier si l'aspect financier est abordé dans la relation entre le patient et le prestataire de soins. On sait (très) bien quel sera le montant à payer chez le généraliste. Celui-ci informe la moitié des répondants du coût du traitement. Les répondants en parlent moins facilement de leur propre chef : seuls 38% d'entre eux le font. Pour les autres prestataires de soins, les résultats divergent. Chez certains praticiens (ostéopathe, kiné, logopède, psychiatre), le prix est bien connu à l'avance, mais il l'est moins chez d'autres. Ce sont également avec ces prestataires que l'on discute ouvertement des coûts. Pour les autres spécialités, aborder les tarifs ne semblent pas être une habitude. Il semble y avoir un lien entre le fait de parler des prix et le fait de savoir à l'avance combien on paiera. Le dentiste constitue une exception : bien qu'ils parlent souvent des prix avec lui, les répondants ne savent pas très bien à l'avance combien ils devront payer. Les répondants n'abordent pas la question du coût parce que ce n'est pas la première chose à laquelle ils pensent quand ils consultent un prestataire. Ils comptent aussi sur le fait que leur mutualité les remboursera suffisamment. |
Disponible en ligne : | Oui |
En ligne : | https://www.mc.be/media/MC-Infos_268_tcm49-37599.pdf |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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MC-Informations. 268 (juin 2017) | Périodique papier | Woluwe | Espace revues | Consultation sur place uniquement Exclu du prêt |